Pierre Lemaitre pour Au revoir là-haut (Albin Michel)
Pierre Lemaitre, venu du polar, est le favori. Plus de la moitié des critiques littéraires interrogés par Livres Hebdo parient sur son roman, plébiscité aussi par les internautes et les libraires. Au revoir là-haut déploie une histoire foisonnante sur les démobilisés de la Grande Guerre condamnés à l'exclusion. Il est aussi en lice pour les prix Renaudot, Femina et Interallié.
Jean-Philippe Toussaint pour Nue (Minuit)
A la deuxième question de Livres Hebdo, "qui mérite le Goncourt ?" , c'est en revanche Jean-Philippe Toussaint qui emporte la mise avec six voix, contre trois à Pierre Lemaitre. Nue est le dernier volet de sa tétralogie sur Marie. Un bon tiers des critiques interrogés explique que ce serait pour l'auteur belge de 55 ans le couronnement d'un cycle romanesque porté aux nues par les médias.
Frédéric Verger pour Arden (Gallimard)
Autre récit sur fond de guerre, Arden a séduit les jurys Goncourt, Médicis et Décembre. Révélation de la rentrée, le premier roman plein d'inventivité de ce professeur de 54 ans nous entraîne dans un pays d'opérette, sur les pas de deux musiciens pris dans l'étau nazi.
Karine Tuil pour L'invention de nos vies (Grasset)
Une fresque impitoyable sur le mensonge, la honte des origines et l'imposture. "Avec le mensonge on peut aller très loin, mais on ne peut jamais en revenir", dit un proverbe qui illustre ce roman également en lice pour l'Interallié, où la petite histoire d un triangle amoureux percute avec violence la grande Histoire du début de notre siècle.
Le prix Goncourt a été attribué en 2012 à Jérôme Ferrari pour Le sermon sur la chute de Rome (Actes Sud). Le Goncourt 2013 sera proclamé lundi à 12 h 45 exactement chez Drouant, restaurant parisien où sera attribué le même jour le Renaudot.
Pierre Lemaitre, venu du polar, est le favori. Plus de la moitié des critiques littéraires interrogés par Livres Hebdo parient sur son roman, plébiscité aussi par les internautes et les libraires. Au revoir là-haut déploie une histoire foisonnante sur les démobilisés de la Grande Guerre condamnés à l'exclusion. Il est aussi en lice pour les prix Renaudot, Femina et Interallié.
Jean-Philippe Toussaint pour Nue (Minuit)
A la deuxième question de Livres Hebdo, "qui mérite le Goncourt ?" , c'est en revanche Jean-Philippe Toussaint qui emporte la mise avec six voix, contre trois à Pierre Lemaitre. Nue est le dernier volet de sa tétralogie sur Marie. Un bon tiers des critiques interrogés explique que ce serait pour l'auteur belge de 55 ans le couronnement d'un cycle romanesque porté aux nues par les médias.
Frédéric Verger pour Arden (Gallimard)
Autre récit sur fond de guerre, Arden a séduit les jurys Goncourt, Médicis et Décembre. Révélation de la rentrée, le premier roman plein d'inventivité de ce professeur de 54 ans nous entraîne dans un pays d'opérette, sur les pas de deux musiciens pris dans l'étau nazi.
Karine Tuil pour L'invention de nos vies (Grasset)
Une fresque impitoyable sur le mensonge, la honte des origines et l'imposture. "Avec le mensonge on peut aller très loin, mais on ne peut jamais en revenir", dit un proverbe qui illustre ce roman également en lice pour l'Interallié, où la petite histoire d un triangle amoureux percute avec violence la grande Histoire du début de notre siècle.
Le prix Goncourt a été attribué en 2012 à Jérôme Ferrari pour Le sermon sur la chute de Rome (Actes Sud). Le Goncourt 2013 sera proclamé lundi à 12 h 45 exactement chez Drouant, restaurant parisien où sera attribué le même jour le Renaudot.
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