Même s'il n'est plus de ce bas monde, l’esprit du président Mamadou Dia vit toujours dans le cœur de certaines personnes.
Quelques années après la mort de l’ancien président du Conseil du gouvernement sénégalais, amis, proches et anciens collaborateurs, ont lancé une fondation à son nom.
À la présidence, c’est l’universitaire français Roland Colin, ancien directeur de cabinet de Mamadou Dia, qui a été désigné, une volonté partagée par l’ancien président de l’assemblée nationale du Sénégal, Moustapha Niasse, qui ne pouvait pas le diriger puisqu’il l'avait déjà été au sein de la Fondation Léopold Sédar Senghor. Néanmoins il n’est pas resté comme un simple spectateur car la fonction de vice-présidence lui a été assignée.
Aujourd’hui même si Roland Colin n’a pas marqué sa présence, sa note écrite depuis la France a été attentivement relayée par le directeur de la Fondation Papa Sène, à l’occasion de la cérémonie de présentation du livre « "Sur les Traces de Mamadou Dia : les enjeux de la Fondation Mamadou Dia pour l’économie humaine" écrite par les membres de la fondation sur l’homme d’État.
Dans leurs interventions, le vice-président de la fondation Moustapha Niasse, et son directeur général Pape Sène sont largement revenus sur les principes de cet ouvrage pour l’économie humaine.
« Elle constitue un acte de nature humaine pour perpétuer le legs d’une personnalité multidimensionnelle au-delà de l’homme d’État qu’il fut, il faut toujours voir le soufi derrière », a indiqué le directeur général.
Mis à part la publication de l’ouvrage, la fondation compte aussi mener d’autres actions pour promouvoir le développement participatif et le partenariat dans différents domaines, dont la gouvernance et la gestion des politiques publiques.
Selon Pape Sène, la fondation entend lancer à partir de ce mois de juin un chronogramme planifié de formations visant à les promouvoir.
« Ces formations toucheront également aux orientations du PR Mamadou Dia dans la gestion des hommes, l’étude et la pratique agricole, les relations internationales, développer des pratiques sur l’énergie entre autres », assure Pape Sène dans son discours.
Au delà de la Recherche et de la formation, la fondation compte mettre en œuvre des relations et des déséquilibres entre les villes et les campagnes pour faire du développement une réalité bénéfique pour les populations africaines.
Quelques années après la mort de l’ancien président du Conseil du gouvernement sénégalais, amis, proches et anciens collaborateurs, ont lancé une fondation à son nom.
À la présidence, c’est l’universitaire français Roland Colin, ancien directeur de cabinet de Mamadou Dia, qui a été désigné, une volonté partagée par l’ancien président de l’assemblée nationale du Sénégal, Moustapha Niasse, qui ne pouvait pas le diriger puisqu’il l'avait déjà été au sein de la Fondation Léopold Sédar Senghor. Néanmoins il n’est pas resté comme un simple spectateur car la fonction de vice-présidence lui a été assignée.
Aujourd’hui même si Roland Colin n’a pas marqué sa présence, sa note écrite depuis la France a été attentivement relayée par le directeur de la Fondation Papa Sène, à l’occasion de la cérémonie de présentation du livre « "Sur les Traces de Mamadou Dia : les enjeux de la Fondation Mamadou Dia pour l’économie humaine" écrite par les membres de la fondation sur l’homme d’État.
Dans leurs interventions, le vice-président de la fondation Moustapha Niasse, et son directeur général Pape Sène sont largement revenus sur les principes de cet ouvrage pour l’économie humaine.
« Elle constitue un acte de nature humaine pour perpétuer le legs d’une personnalité multidimensionnelle au-delà de l’homme d’État qu’il fut, il faut toujours voir le soufi derrière », a indiqué le directeur général.
Mis à part la publication de l’ouvrage, la fondation compte aussi mener d’autres actions pour promouvoir le développement participatif et le partenariat dans différents domaines, dont la gouvernance et la gestion des politiques publiques.
Selon Pape Sène, la fondation entend lancer à partir de ce mois de juin un chronogramme planifié de formations visant à les promouvoir.
« Ces formations toucheront également aux orientations du PR Mamadou Dia dans la gestion des hommes, l’étude et la pratique agricole, les relations internationales, développer des pratiques sur l’énergie entre autres », assure Pape Sène dans son discours.
Au delà de la Recherche et de la formation, la fondation compte mettre en œuvre des relations et des déséquilibres entre les villes et les campagnes pour faire du développement une réalité bénéfique pour les populations africaines.
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