Ce 3 juillet 2025, le monde du football africain a perdu l’un de ses plus grands gardiens: Peter Rufai, légende nigériane, s’est éteint à l’âge de 61 ans. Surnommé « Dodo Mayana », il fut bien plus qu’un portier: un symbole de courage, de fierté nationale et d’excellence sportive.
Né à Lagos, Rufai a marqué l’histoire en remportant la Coupe d’Afrique des Nations en 1994 avec les Super Eagles. Il a également défendu les cages du Nigeria lors des Coupes du monde de 1994 et 1998, incarnant la génération dorée aux côtés de Jay-Jay Okocha, Stephen Keshi et Rashidi Yekini.
Son parcours en club fut tout aussi remarquable: de Lokeren en Belgique à Deportivo La Corogne en Espagne, en passant par le Portugal et les Pays-Bas, Rufai a été l’un des premiers gardiens africains à s’imposer en Europe.
Mais au-delà des statistiques et des trophées, Peter Rufai laisse derrière lui un héritage de dignité, de professionnalisme et d’humilité. Son ancien club, Farense, a salué sa mémoire comme celle d’un homme qui a honoré le maillot sur et en dehors du terrain.
Aujourd’hui, les filets sont silencieux. Les tribunes pleurent. Mais dans chaque ballon arrêté, chaque cri de victoire, l’esprit de Peter Rufai continue de vivre.
Né à Lagos, Rufai a marqué l’histoire en remportant la Coupe d’Afrique des Nations en 1994 avec les Super Eagles. Il a également défendu les cages du Nigeria lors des Coupes du monde de 1994 et 1998, incarnant la génération dorée aux côtés de Jay-Jay Okocha, Stephen Keshi et Rashidi Yekini.
Son parcours en club fut tout aussi remarquable: de Lokeren en Belgique à Deportivo La Corogne en Espagne, en passant par le Portugal et les Pays-Bas, Rufai a été l’un des premiers gardiens africains à s’imposer en Europe.
Mais au-delà des statistiques et des trophées, Peter Rufai laisse derrière lui un héritage de dignité, de professionnalisme et d’humilité. Son ancien club, Farense, a salué sa mémoire comme celle d’un homme qui a honoré le maillot sur et en dehors du terrain.
Aujourd’hui, les filets sont silencieux. Les tribunes pleurent. Mais dans chaque ballon arrêté, chaque cri de victoire, l’esprit de Peter Rufai continue de vivre.
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