L’interpellation du leader de Pastef est passé en boucle dans les réseau sociaux. Et pour donner la bonne information, le ministre de l’Intérieur a donné les raisons de cet acte des éléments du GIGN qui ont déposé Ousmane Sonko chez lui.
Joint au téléphone par la Rts dans son édition de 20h, le ministre de l’Intérieur fait savoir que « nous sommes dans un Etat de droit. Quand on dit Etat de droit, il y a des règles que l’Etat doit respecter ainsi que les citoyens » rappelle le ministre.
Selon Antoine Diom, cette interpellation est bien motivée. Il précise « lors de la première étape, il y a bien mort d’homme à Kolda. La responsabilité de l’Etat étant engagée. Dans ce qui est garantie de l’ordre public nous ne pouvons pas laisser des personnes pour quelque raisons que ce soit ou l’expression de quelque opinions que ce soit faire des rassemblements sans pour autant que les règles minimales d’encadrement soient respectées » fait-il savoir.
Secundo, Antoine Diome note que « l’autorité administrative doit voir si toutes les conditions d’une bonne organisation de manifestations sur la voie publique sont réunies. Troisièmement, le déclarant lui-même veille de telle sorte qu’il n’y ait pas de troubles à l’ordre public ».
De tous ces points de vue, le ministre informe que « toutes ces conditions ne sont pas réunies pour des processions de la nature qu’a voulu organiser le leader de PASTEF. Pour toutes ces raisons, j’ai sorti hier un communiqué pour rappeler les règles qui gouvernent la matière. Malheureusement ils ont persisté dans cette voie. Et nous avons vu la conséquence, il y a eu la mort d'un homme à Kolda ».
De ce point de vue, il prévient les autres leaders politiques « que ce soit le leader de Pastef ou un autre, à toute violation de la loi l’Etat a le devoir d'y mettre un terme. On a pu encadrer le leader de Pastef, il a été déposé chez lui » conclut le ministre.
Joint au téléphone par la Rts dans son édition de 20h, le ministre de l’Intérieur fait savoir que « nous sommes dans un Etat de droit. Quand on dit Etat de droit, il y a des règles que l’Etat doit respecter ainsi que les citoyens » rappelle le ministre.
Selon Antoine Diom, cette interpellation est bien motivée. Il précise « lors de la première étape, il y a bien mort d’homme à Kolda. La responsabilité de l’Etat étant engagée. Dans ce qui est garantie de l’ordre public nous ne pouvons pas laisser des personnes pour quelque raisons que ce soit ou l’expression de quelque opinions que ce soit faire des rassemblements sans pour autant que les règles minimales d’encadrement soient respectées » fait-il savoir.
Secundo, Antoine Diome note que « l’autorité administrative doit voir si toutes les conditions d’une bonne organisation de manifestations sur la voie publique sont réunies. Troisièmement, le déclarant lui-même veille de telle sorte qu’il n’y ait pas de troubles à l’ordre public ».
De tous ces points de vue, le ministre informe que « toutes ces conditions ne sont pas réunies pour des processions de la nature qu’a voulu organiser le leader de PASTEF. Pour toutes ces raisons, j’ai sorti hier un communiqué pour rappeler les règles qui gouvernent la matière. Malheureusement ils ont persisté dans cette voie. Et nous avons vu la conséquence, il y a eu la mort d'un homme à Kolda ».
De ce point de vue, il prévient les autres leaders politiques « que ce soit le leader de Pastef ou un autre, à toute violation de la loi l’Etat a le devoir d'y mettre un terme. On a pu encadrer le leader de Pastef, il a été déposé chez lui » conclut le ministre.
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