Un crime d’une barbarie inouïe secoue la localité de Mbar Toubab, dans l’arrondissement de Keur Momar Sarr. Selon L’Observateur, un jeune berger transhumant, D.S., a tenté de violer puis de tuer sa belle-sœur mardi dernier, après que celle-ci a repoussé ses avances. Armé d’une hache, il l’a sauvagement attaquée, la laissant entre la vie et la mort.
Un désir malsain qui vire au carnage
Tout commence dans un bivouac isolé où vit une famille de bergers. Ce jour-là, C.S., le chef de famille, part en ville pour faire des courses, laissant derrière lui son épouse et son jeune frère. Ce dernier, D.S., est censé veiller sur elle, mais il a un tout autre plan en tête.
Pris d’un désir incontrôlable, il profite de l’absence de son aîné pour s’introduire dans la chambre de la femme et lui fait des avances explicites. Face au refus catégorique de la victime, il tente de la forcer. Mais malgré sa frêle constitution, elle se débat avec acharnement pour lui échapper.
Vexé par cette résistance, D.S. bascule dans une violence extrême. Fou de rage, il quitte la pièce, s’empare d’une hache, puis revient pour se venger. Dans un déchaînement de brutalité, il lui assène plusieurs coups à la tête, au dos et aux bras, la laissant inerte, baignant dans une mare de sang.
Une indifférence glaçante face aux cris de détresse
Après son acte monstrueux, l’agresseur retourne calmement dans sa chambre, comme si de rien n’était, alors que sa victime hurle de douleur. Ce sont ses cris qui finissent par alerter les villageois, accourus en urgence pour découvrir l’horreur.
Gravement blessée, la jeune femme est transportée d’urgence au centre hospitalier Amadou Sakhir Mbaye de Louga, où elle lutte toujours contre la mort.
Le bourreau sous les verrous
Alertée, la Brigade de gendarmerie de Keur Momar Sarr se saisit immédiatement de l’affaire. D.S. est arrêté et placé en garde à vue, avant d’être déféré vendredi dernier au parquet de Louga. Il devra répondre de tentative de meurtre et de tentative de viol devant le juge d’instruction qui l’entendra aujourd’hui.
Un acte aussi atroce que révoltant qui choque toute la région et pose, une fois de plus, la question des violences faites aux femmes dans les zones reculées.
Un désir malsain qui vire au carnage
Tout commence dans un bivouac isolé où vit une famille de bergers. Ce jour-là, C.S., le chef de famille, part en ville pour faire des courses, laissant derrière lui son épouse et son jeune frère. Ce dernier, D.S., est censé veiller sur elle, mais il a un tout autre plan en tête.
Pris d’un désir incontrôlable, il profite de l’absence de son aîné pour s’introduire dans la chambre de la femme et lui fait des avances explicites. Face au refus catégorique de la victime, il tente de la forcer. Mais malgré sa frêle constitution, elle se débat avec acharnement pour lui échapper.
Vexé par cette résistance, D.S. bascule dans une violence extrême. Fou de rage, il quitte la pièce, s’empare d’une hache, puis revient pour se venger. Dans un déchaînement de brutalité, il lui assène plusieurs coups à la tête, au dos et aux bras, la laissant inerte, baignant dans une mare de sang.
Une indifférence glaçante face aux cris de détresse
Après son acte monstrueux, l’agresseur retourne calmement dans sa chambre, comme si de rien n’était, alors que sa victime hurle de douleur. Ce sont ses cris qui finissent par alerter les villageois, accourus en urgence pour découvrir l’horreur.
Gravement blessée, la jeune femme est transportée d’urgence au centre hospitalier Amadou Sakhir Mbaye de Louga, où elle lutte toujours contre la mort.
Le bourreau sous les verrous
Alertée, la Brigade de gendarmerie de Keur Momar Sarr se saisit immédiatement de l’affaire. D.S. est arrêté et placé en garde à vue, avant d’être déféré vendredi dernier au parquet de Louga. Il devra répondre de tentative de meurtre et de tentative de viol devant le juge d’instruction qui l’entendra aujourd’hui.
Un acte aussi atroce que révoltant qui choque toute la région et pose, une fois de plus, la question des violences faites aux femmes dans les zones reculées.
Autres articles
-
Mboro accueille le premier Parlement des Enfants pour l’Eau
-
Mali: au moins 48 morts dans un effondrement d'une mine d'or (autorités)
-
Sortie médiatique du MESRI : le SAES démonte les propos du Dr Abdourahmane Diouf et dénonce une rupture unilatérale du dialogue avec le syndicat
-
Zelensky annonce avoir refusé un accord avec Washington sur les minerais ukrainiens
-
Fermeture des bases françaises au Sénégal : Inquiétude chez près de 500 employés