L’accès à l’eau potable, le bitumage de la bretelle Kamb-Mboula et la revitalisation des vallées fossiles sont les principales préoccupations des habitants de Mboula, dans le département de Linguère. Ces revendications ont été exprimées par El Hadji Cheikh Mbengue, porte-parole de la famille Mbengue et coordonnateur des activités liées à l’organisation du Gamou de Mboula, qui s’est tenu hier, samedi 8 février 2025.
Concernant le problème de l’eau potable à Mboula, El Hadji Cheikh Mbengue a rappelé qu’il s’agit d’une demande ancienne, restée sans réponse de la part des autorités compétentes. En effet, selon lui, depuis plus de cinq ans, les habitants de Mboula réclament en vain cette ressource essentielle. Cependant, le coordonnateur a exprimé un certain espoir avec l’implantation récente d’un nouveau forage dans la localité.
Toutefois, il a précisé que cet ouvrage ne fonctionne pas encore, faute d’un château d’eau. Ainsi, pour répondre aux besoins en eau lors de la 103ᵉ édition du Gamou de Mboula, des citernes ont dû être mises à la disposition des populations. Face à cette situation, El Hadji Cheikh Mbengue a lancé un appel pressant au ministre de l’Hydraulique, afin que la cité religieuse de Mboula, terre de Mame Abdoulaye Mbengue, soit enfin alimentée en eau potable. En attendant, les habitants doivent se rendre à Mboynane ou dans d’autres localités voisines, dans des conditions souvent difficiles, pour s’approvisionner.
Au sujet du bitumage de la voie Kamb-Mboula, El Hadji Cheikh Mbengue a affirmé garder espoir, notamment en raison des promesses faites par El Malick Ndiaye lorsqu’il était ministre des Infrastructures. Aujourd’hui président de l’Assemblée nationale, El Malick Ndiaye reste, selon lui, un interlocuteur clé pour concrétiser ce projet. Les habitants de Mboula comptent sur son engagement pour que cette piste soit enfin bitumée.
Par ailleurs, la revitalisation des vallées fossiles est une autre priorité pour les populations locales. El Hadji Cheikh Mbengue a souligné l’importance de permettre à l’eau douce de couler de manière permanente, ce qui favoriserait le développement de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche, et contribuerait à atteindre l’autosuffisance alimentaire.
Enfin, évoquant l’organisation du Gamou, El Hadji Cheikh Mbengue a tenu à remercier les nouvelles autorités, notamment le préfet de Linguère et le sous-préfet de Yang-Yang, qui ont déployé des efforts considérables pour assurer le succès de cet événement religieux.
Concernant le problème de l’eau potable à Mboula, El Hadji Cheikh Mbengue a rappelé qu’il s’agit d’une demande ancienne, restée sans réponse de la part des autorités compétentes. En effet, selon lui, depuis plus de cinq ans, les habitants de Mboula réclament en vain cette ressource essentielle. Cependant, le coordonnateur a exprimé un certain espoir avec l’implantation récente d’un nouveau forage dans la localité.
Toutefois, il a précisé que cet ouvrage ne fonctionne pas encore, faute d’un château d’eau. Ainsi, pour répondre aux besoins en eau lors de la 103ᵉ édition du Gamou de Mboula, des citernes ont dû être mises à la disposition des populations. Face à cette situation, El Hadji Cheikh Mbengue a lancé un appel pressant au ministre de l’Hydraulique, afin que la cité religieuse de Mboula, terre de Mame Abdoulaye Mbengue, soit enfin alimentée en eau potable. En attendant, les habitants doivent se rendre à Mboynane ou dans d’autres localités voisines, dans des conditions souvent difficiles, pour s’approvisionner.
Au sujet du bitumage de la voie Kamb-Mboula, El Hadji Cheikh Mbengue a affirmé garder espoir, notamment en raison des promesses faites par El Malick Ndiaye lorsqu’il était ministre des Infrastructures. Aujourd’hui président de l’Assemblée nationale, El Malick Ndiaye reste, selon lui, un interlocuteur clé pour concrétiser ce projet. Les habitants de Mboula comptent sur son engagement pour que cette piste soit enfin bitumée.
Par ailleurs, la revitalisation des vallées fossiles est une autre priorité pour les populations locales. El Hadji Cheikh Mbengue a souligné l’importance de permettre à l’eau douce de couler de manière permanente, ce qui favoriserait le développement de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche, et contribuerait à atteindre l’autosuffisance alimentaire.
Enfin, évoquant l’organisation du Gamou, El Hadji Cheikh Mbengue a tenu à remercier les nouvelles autorités, notamment le préfet de Linguère et le sous-préfet de Yang-Yang, qui ont déployé des efforts considérables pour assurer le succès de cet événement religieux.
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