L’avocat franco-espagnol a été sommé de retourner chez lui en France après avoir atterri à l’aéroport international Blaise Diagne de Dias. C’est hier soir que Juan Branco, devant défendre le leader du Pastef dans l’affaire des 29 milliards du PRODAC, a débarqué sur le sol sénégalais mais n’a pas dépassé les lieux.
L’avocat dans un post sur sa page Facebook, regrette d’avoir été éconduit de la sorte. « Faire arrêter un avocat par sept hommes en armes, le détenir, l'intimider puis le faire expulser, pour l'empêcher de défendre un homme. Quel hommage du vice à la vertu » a regretté la robe noire.
L’avocat dans un post sur sa page Facebook, regrette d’avoir été éconduit de la sorte. « Faire arrêter un avocat par sept hommes en armes, le détenir, l'intimider puis le faire expulser, pour l'empêcher de défendre un homme. Quel hommage du vice à la vertu » a regretté la robe noire.
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