L’évaluation de l’acte 3 de la décentralisation était au cœur des échanges de l’atelier sectoriel consacré à la revue sectorielle du ministère chargé des collectivités territoriales. Adama Diouf prenant part au nom de ses pairs des associations des élus locaux, a listé trois points majeurs pour l’atteinte des objectifs assignés.
« Il y a des efforts à faire. L'ancrage territorial pour une administration territoriale rénovée, nous devons faire des efforts pour que cette cohérence territoriale soit achevée. Les communes des capitales régionales et ou départementales étouffent pour des soucis de périmètre. Les conflits fonciers sont récurrents. Cette problématique de la limitation de nos frontières territoriales à l’intérieur de nos communes est une question centrale. Le plan national de l’aménagement du territoire est un outil qui peut nous aider. La problématique foncière est encore persistante », note-t-il.
Ensuite, il a souligné que «pour agréger les projets et programmes autour d’un territoire pertinent, il faut beaucoup s’investir dans les pôles de développement économique. La seconde phase de l’acte 3 de la décentralisation doit être un chantier. »
Et enfin, l’élu local a évoqué la problématique des compétences transférées. « Le principe de la clause générale nous permet de nous investir dans certaines questions de développement. Ce qui veut dire qu’il faut les formaliser. Les secteurs à vocation économique donnent du sens à notre réforme qui est l’acte 3 de la décentralisation : l’élevage, l’agriculture, la pêche, l’hydraulique, le tourisme, … »
« Il y a des efforts à faire. L'ancrage territorial pour une administration territoriale rénovée, nous devons faire des efforts pour que cette cohérence territoriale soit achevée. Les communes des capitales régionales et ou départementales étouffent pour des soucis de périmètre. Les conflits fonciers sont récurrents. Cette problématique de la limitation de nos frontières territoriales à l’intérieur de nos communes est une question centrale. Le plan national de l’aménagement du territoire est un outil qui peut nous aider. La problématique foncière est encore persistante », note-t-il.
Ensuite, il a souligné que «pour agréger les projets et programmes autour d’un territoire pertinent, il faut beaucoup s’investir dans les pôles de développement économique. La seconde phase de l’acte 3 de la décentralisation doit être un chantier. »
Et enfin, l’élu local a évoqué la problématique des compétences transférées. « Le principe de la clause générale nous permet de nous investir dans certaines questions de développement. Ce qui veut dire qu’il faut les formaliser. Les secteurs à vocation économique donnent du sens à notre réforme qui est l’acte 3 de la décentralisation : l’élevage, l’agriculture, la pêche, l’hydraulique, le tourisme, … »
Autres articles
-
Indice Mo Ibrahim 2022 / Ousmane Sonko déclasse le Sénégal : « On doit s’inquiéter de l’Afrique et de surcroît de notre pays… »
-
Cheikh Youm exige la mise en place de la Haute Cour de Justice afin de juger Macky Sall pour haute trahison..
-
Rapport de la Cour des Comptes: Aïda Mbodji exige la mise en place de la Haute Cour de Justice.
-
Porokhane : La première dame envoie une forte délégation, convoie des bœufs et distribue des denrées alimentaires dans la cité religieuse.
-
Un appel pressant à la paix: Habib Sy explique la conception de la paix selon Macky Sall.