Les ruines, casses, et autres dommages qui s’offraient à l’œil au stade Léopold Sédar Senghor, seront bientôt de vieux souvenirs. L’infrastructure est en train de connaitre une profonde réhabilitation qui devrait lui procurer sous peu, un nouveau visage. De la pelouse aux gradins, en passant par les grilles de séparation, la tribune découverte, les portes de la ceinture de sécurité jusqu’aux marches, tout est en train d’être retouchés. En visite de chantier sur les lieux, le ministre des Sports et de la Vie associative Mbagnick Ndiaye, a salué le niveau d’avancement des travaux. ‘’Nous voulons une infrastructure aux normes et pour cela, il était important de reprendre presque tout: la toiture, la pelouse, les gradins et mêmes les portes qui ont commencé à rouiller’’, a-t-il affirmé, rappelant que le coût des travaux est estimé à 735 millions FCFA.
Regrettant le manque de suivi dans les infrastructures, M. Ndiaye a souligné que son département sera vigilant cette fois-ci, dans la conduite des travaux. Car ‘’il y va de la crédibilité du Sénégal et de notre image de marque’’, dira Mbagnick Ndiaye. Dans ce stade, le problème majeur constaté en même temps les visiteurs, demeure la vétusté des installations dont certaines n’ont pas été réhabilitées depuis 1985. C’est le cas du réseau de drainage des eaux pour l’arrosage de la pelouse et du réservoir d’eau qui ne fonctionne presque plus.
Walid Rassaa, technicien français venu appuyer les travaux, a après diagnostic du système d’arrosage, estimé qu’il n’est plus adapté. Car « les équipements sont vétustes et leurs délais largement dépassés’’, dira-t-il. Pour M. Rassaa, il faut une opération radicale pour remettre en place un nouveau système. Venu avec son équipe pour apporter son expertise à la remise en état de la pelouse du stade Léopold Sédar Senghor, Mathieu Chupin, le directeur de Dakar Sacré Cœur (DSC) a aussi invité les autorités à prendre en compte cet avis. Rappelant que l’objectif est d’avoir dans trois mois, la meilleure pelouse qu’il n’y ait jamais eu au Sénégal, il a relevé que cela nécessite des travaux et une meilleure utilisation de l’infrastructure.
Regrettant le manque de suivi dans les infrastructures, M. Ndiaye a souligné que son département sera vigilant cette fois-ci, dans la conduite des travaux. Car ‘’il y va de la crédibilité du Sénégal et de notre image de marque’’, dira Mbagnick Ndiaye. Dans ce stade, le problème majeur constaté en même temps les visiteurs, demeure la vétusté des installations dont certaines n’ont pas été réhabilitées depuis 1985. C’est le cas du réseau de drainage des eaux pour l’arrosage de la pelouse et du réservoir d’eau qui ne fonctionne presque plus.
Walid Rassaa, technicien français venu appuyer les travaux, a après diagnostic du système d’arrosage, estimé qu’il n’est plus adapté. Car « les équipements sont vétustes et leurs délais largement dépassés’’, dira-t-il. Pour M. Rassaa, il faut une opération radicale pour remettre en place un nouveau système. Venu avec son équipe pour apporter son expertise à la remise en état de la pelouse du stade Léopold Sédar Senghor, Mathieu Chupin, le directeur de Dakar Sacré Cœur (DSC) a aussi invité les autorités à prendre en compte cet avis. Rappelant que l’objectif est d’avoir dans trois mois, la meilleure pelouse qu’il n’y ait jamais eu au Sénégal, il a relevé que cela nécessite des travaux et une meilleure utilisation de l’infrastructure.
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