La mise en position de stage est la revendication primordiale de certains des enseignants diplômés. En effet, face à la presse, ce collectif qui regroupe environ 3.000 instituteurs, réclame une formation immédiate venant de l’État du Sénégal.
La mise en position de stage qui existe dans le milieu de l’enseignement depuis plus de 40 ans est régie par la loi 61-33 du 15 juin 1961 relative au statut général des fonctionnaires qui est modifiée par un décret signé le 14 novembre 1977. Cependant, ces enseignants se disent laissés à leur sort depuis presque une décennie.
À en croire Babacar Koté, coordonnateur des enseignants diplômés pour la mise en position de stage, « c’est depuis 2012 que l’État a commencé à négliger la formation » et il a fallu « des sit-in, des manifestations pour que l’État revienne à la raison ». Aujourd’hui, d’après ce professeur en histoire et géographie à Mbour, rien que 199 sur les 3.000 enseignants ont commencé leurs stages, suite à une longue bataille.
Ces derniers, après constat du silence du ministre de l’éducation et du directeur de la formation, interpellent directement le président de la République étant donné que la tutelle, d’après eux, « n’a pas mesuré l’enjeu et la gravité de l’heure ». Ils réclament ainsi une formation des leurs pour rehausser le niveau des enseignants souvent remis en question.
La mise en position de stage qui existe dans le milieu de l’enseignement depuis plus de 40 ans est régie par la loi 61-33 du 15 juin 1961 relative au statut général des fonctionnaires qui est modifiée par un décret signé le 14 novembre 1977. Cependant, ces enseignants se disent laissés à leur sort depuis presque une décennie.
À en croire Babacar Koté, coordonnateur des enseignants diplômés pour la mise en position de stage, « c’est depuis 2012 que l’État a commencé à négliger la formation » et il a fallu « des sit-in, des manifestations pour que l’État revienne à la raison ». Aujourd’hui, d’après ce professeur en histoire et géographie à Mbour, rien que 199 sur les 3.000 enseignants ont commencé leurs stages, suite à une longue bataille.
Ces derniers, après constat du silence du ministre de l’éducation et du directeur de la formation, interpellent directement le président de la République étant donné que la tutelle, d’après eux, « n’a pas mesuré l’enjeu et la gravité de l’heure ». Ils réclament ainsi une formation des leurs pour rehausser le niveau des enseignants souvent remis en question.
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