Toute l'assistance s'est posée la question de savoir comment peut-on en arriver là avec sa génitrice. À l'aide d'un fusil, Mohamed El Hadj Lam a eu la cruauté de donner un coup violent au front de sa mère. Un agissement qui lui a d'ailleurs valu sa comparution devant la barre du Tribunal d'Instance ce lundi 23 août 2021.
Devant la barre, la plaignante est revenue sur les faits. Ainsi, Ndèye Fatou Ndiaye Diallo déclare que son fils est un habitué des faits. La preuve, elle avait confié l'éducation de son fils Mohamed à sa propre mère, mais ce compagnonnage avec sa grand-mère a fait long feu. Parce que le prévenu a été accusé de vol de bijoux en or. La mère plaignante raconte ce qui s'est passé. "Ce jour-là, nous étions en train de discuter dans le salon et je lui ai reproché d'avoir échoué au bac parce qu'il n'a pas bien travaillé. Des propos qui l'ont poussé à aller dans la cuisine et à se saisir du fusil de chasse qu'il m'a asséné au front."
Interrogé sur les faits qui lui sont reprochés, le mis en cause estime qu'il s'était laissé emporter par la colère. Le président du Tribunal d'Instance lui pose la question de savoir pourquoi il utilise des armes de chasse ? Il lui servira qu'il voulait devenir un tireur.
Selon l'avocat de la partie civile, la nommée Ndèye Fatou Ndiaye Diallo avait confié l’éducation de son enfant à sa mère, jusqu’à l’obtention du baccalauréat pour enfin rejoindre les États-Unis. "Malheureusement, il avait échoué au bac. Et sa maman lui avait fait comprendre que les bons élèves ne ratent pas le bac. Des propos qui l'ont énervé. Il était blessé dans son âme profonde, c’est pourquoi il a agi de la sorte", a plaidé la robe noire avant de demander au juge de lui donner une peine d’avertissement.
Vu la constance des faits, le représentant du ministère public a requis une application de la loi. À la fin de l'audience, la défense a introduit une demande de liberté provisoire. Cependant, la demande a été rejetée par le parquet. L'affaire a été mise en délibéré jusqu'au 30 août prochain...
Devant la barre, la plaignante est revenue sur les faits. Ainsi, Ndèye Fatou Ndiaye Diallo déclare que son fils est un habitué des faits. La preuve, elle avait confié l'éducation de son fils Mohamed à sa propre mère, mais ce compagnonnage avec sa grand-mère a fait long feu. Parce que le prévenu a été accusé de vol de bijoux en or. La mère plaignante raconte ce qui s'est passé. "Ce jour-là, nous étions en train de discuter dans le salon et je lui ai reproché d'avoir échoué au bac parce qu'il n'a pas bien travaillé. Des propos qui l'ont poussé à aller dans la cuisine et à se saisir du fusil de chasse qu'il m'a asséné au front."
Interrogé sur les faits qui lui sont reprochés, le mis en cause estime qu'il s'était laissé emporter par la colère. Le président du Tribunal d'Instance lui pose la question de savoir pourquoi il utilise des armes de chasse ? Il lui servira qu'il voulait devenir un tireur.
Selon l'avocat de la partie civile, la nommée Ndèye Fatou Ndiaye Diallo avait confié l’éducation de son enfant à sa mère, jusqu’à l’obtention du baccalauréat pour enfin rejoindre les États-Unis. "Malheureusement, il avait échoué au bac. Et sa maman lui avait fait comprendre que les bons élèves ne ratent pas le bac. Des propos qui l'ont énervé. Il était blessé dans son âme profonde, c’est pourquoi il a agi de la sorte", a plaidé la robe noire avant de demander au juge de lui donner une peine d’avertissement.
Vu la constance des faits, le représentant du ministère public a requis une application de la loi. À la fin de l'audience, la défense a introduit une demande de liberté provisoire. Cependant, la demande a été rejetée par le parquet. L'affaire a été mise en délibéré jusqu'au 30 août prochain...
Autres articles
-
Tournée économique en Casamance : Goudomp réserve un accueil chaleureux au Président Diomaye
-
Prestation de serment à l’OFNAC : Moustapha Ka et ses douze membres engagés pour la transparence
-
Second pont de Ziguinchor: Le président Bassirou Diomaye Faye annonce un financement de 25 milliards de FCFA sur fonds propres
-
550 ha de terres désalinisés à Coubalan : La digue de 22 km pour nourrir la souveraineté alimentaire
-
Casamance - 870 morts, 75 zones piégées, 1000 familles déplacées: Retour sur le lourd bilan de 40 ans de conflit



