La situation des personnes handicapées dans le monde demeure préoccupante, et celle des femmes handicapées l’est encore plus. En effet, à la vulnérabilité liée au statut de femme s’ajoute une autre, plus accentuée, celle liée au handicap. Cette double vulnérabilité fait des femmes handicapées une catégorie sociale particulièrement exposée. Ainsi, dans le cadre du mois de mars dédié à la femme, le Comité des femmes de la Fédération Sénégalaise des Associations de Personnes Handicapées, en partenariat avec ONU Femmes, a célébré la Journée internationale des droits des femmes ce 17 mars 2025.
Réunissant des associations de personnes en situation de handicap, des autorités diplomatiques, des organisations de défense des droits de l’homme et des représentants de l’État, objectif de cet événement était de promouvoir l’inclusion sociale et économique des personnes handicapées, en particulier des femmes et des filles, tout en luttant contre les discriminations persistantes.
Dr Khady Ba Ly, présidente de l’Association des Femmes Vivant avec un Handicap, a salué l’initiative et souligné l’importance de cet événement. « Nous devons mettre en lumière les difficultés que nous rencontrons et parler de nos droits spécifiques. Les femmes handicapées ont des besoins particuliers qui doivent être pris en compte pour garantir une véritable égalité des chances », souligne madame Khady Ba Ly. Elle a également rappelé que le Sénégal a ratifié plusieurs conventions et lois en faveur des droits des personnes handicapées, mais que leur application reste un défi. « Nous voulons que ces droits soient réalisés, notamment en matière de protection contre les violences et de participation à la vie sociale et politique », a-t-elle insisté.
Dr Rokhaya Diakhaté, directrice de la Famille au Ministère de la Famille et des Solidarités et représentante du ministre de la Famille et des solidarité, a réaffirmé l’engagement du gouvernement à soutenir les femmes et les filles handicapées. « Le président de la République a donné des instructions claires pour favoriser leur inclusion dans nos politiques de développement. Nous travaillons à faciliter leur accès aux services sociaux, à l’éducation, à la formation et au financement de leurs activités génératrices de revenus. » Elle a également mentionné des initiatives comme la carte d’égalité des chances et le programme national de bourse de sécurité familiale, visant à améliorer les conditions de vie des personnes handicapées.
Quant à Mme Arlette Mvondo, représentante résidente d’ONU Femmes au Sénégal, elle a rappelé que l’inclusion des personnes handicapées est une priorité pour les Nations Unies. « Cette activité n’est pas seulement une célébration, mais aussi un moment de bilan et de plaidoyer. Nous voulons écouter les femmes handicapées, amplifier leurs voix et traduire leurs recommandations en actions concrètes. » Elle a également souligné la nécessité d’une collaboration étroite entre les agences des Nations Unies, les partenaires techniques et financiers, et les ministères concernés pour relever les défis identifiés.
L’atelier a permis ainsi d’aborder des questions cruciales telles que les violences faites aux femmes handicapées, leur accès aux services de santé et les politiques de protection à leur égard. Ainsi, la présidente de l’Association des Femmes Vivant avec un Handicap appelle à une tolérance zéro face aux discriminations et à une meilleure mise en œuvre des lois existantes. « Les femmes handicapées sont souvent doublement vulnérables, en raison de leur genre et de leur handicap. Il est temps que leurs droits soient pleinement respectés », a conclu Mme Khady Ba Ly.
Dr Khady Ba Ly, présidente de l’Association des Femmes Vivant avec un Handicap, a salué l’initiative et souligné l’importance de cet événement. « Nous devons mettre en lumière les difficultés que nous rencontrons et parler de nos droits spécifiques. Les femmes handicapées ont des besoins particuliers qui doivent être pris en compte pour garantir une véritable égalité des chances », souligne madame Khady Ba Ly. Elle a également rappelé que le Sénégal a ratifié plusieurs conventions et lois en faveur des droits des personnes handicapées, mais que leur application reste un défi. « Nous voulons que ces droits soient réalisés, notamment en matière de protection contre les violences et de participation à la vie sociale et politique », a-t-elle insisté.
Dr Rokhaya Diakhaté, directrice de la Famille au Ministère de la Famille et des Solidarités et représentante du ministre de la Famille et des solidarité, a réaffirmé l’engagement du gouvernement à soutenir les femmes et les filles handicapées. « Le président de la République a donné des instructions claires pour favoriser leur inclusion dans nos politiques de développement. Nous travaillons à faciliter leur accès aux services sociaux, à l’éducation, à la formation et au financement de leurs activités génératrices de revenus. » Elle a également mentionné des initiatives comme la carte d’égalité des chances et le programme national de bourse de sécurité familiale, visant à améliorer les conditions de vie des personnes handicapées.
Quant à Mme Arlette Mvondo, représentante résidente d’ONU Femmes au Sénégal, elle a rappelé que l’inclusion des personnes handicapées est une priorité pour les Nations Unies. « Cette activité n’est pas seulement une célébration, mais aussi un moment de bilan et de plaidoyer. Nous voulons écouter les femmes handicapées, amplifier leurs voix et traduire leurs recommandations en actions concrètes. » Elle a également souligné la nécessité d’une collaboration étroite entre les agences des Nations Unies, les partenaires techniques et financiers, et les ministères concernés pour relever les défis identifiés.
L’atelier a permis ainsi d’aborder des questions cruciales telles que les violences faites aux femmes handicapées, leur accès aux services de santé et les politiques de protection à leur égard. Ainsi, la présidente de l’Association des Femmes Vivant avec un Handicap appelle à une tolérance zéro face aux discriminations et à une meilleure mise en œuvre des lois existantes. « Les femmes handicapées sont souvent doublement vulnérables, en raison de leur genre et de leur handicap. Il est temps que leurs droits soient pleinement respectés », a conclu Mme Khady Ba Ly.
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