Le comité de plaidoyer sur la santé de la reproduction des femmes et des filles et leurs droits à la vie dénommé Task Force, a organisé un déjeuner de presse, ce mardi 15 juillet 2025 à Dakar. Le but était de sensibiliser les professionnels des médias sénégalais sur la nécessité, l’importance d’autoriser l’avortement médicalisé en cas de viol et d’inceste.
Aïssatou Ndiaye, coordonnatrice de la Task Force est revenue sur l’intérêt de cette rencontre. Selon cette dernière, ce déjeuner de presse est un espace de dialogue qui a permis de parler de ce projet de plaidoyer initié depuis des années. De ce fait, il est assez important de mettre à niveau les professionnels des médias sénégalais sur le plaidoyer. Parce que comme l’a-t-elle dit, la question de l’avortement est une question de santé publique qui concerne toutes les catégories socio- professionnelles. Ainsi, il est important de contribuer à l’accessibilité de la bonne information en facilitant à la presse sénégalaise l’accès à la bonne information, d’avoir des espaces de dialogue et de faire en sorte qu’il puisse bénéficier de renforcement de compétence et de connaissance sur le plaidoyer, sur la question des droits humains et des politiques de santé au Sénégal et sur l’environnement juridique du Sénégal.
Selon la coordonnatrice qui a exprimé ses attentes au nom de la Task Force, il s’agit d’une meilleure compréhension du plaidoyer par les professionnels des médias, un meilleur traitement médiatique des cas de viol et d’inceste et une contribution assez effective des médias sénégalais en ce qui concerne la dissémination de l’information, de la bonne information auprès de toutes les couches de la population sénégalaise. Mais aussi, de pousser les médias à réaliser des contenus rédactionnels afin d’aller plus dans la recherche approfondie par rapport au plaidoyer de la lutte contre l’avortement clandestin.
Aïssatou Ndiaye, coordonnatrice de la Task Force est revenue sur l’intérêt de cette rencontre. Selon cette dernière, ce déjeuner de presse est un espace de dialogue qui a permis de parler de ce projet de plaidoyer initié depuis des années. De ce fait, il est assez important de mettre à niveau les professionnels des médias sénégalais sur le plaidoyer. Parce que comme l’a-t-elle dit, la question de l’avortement est une question de santé publique qui concerne toutes les catégories socio- professionnelles. Ainsi, il est important de contribuer à l’accessibilité de la bonne information en facilitant à la presse sénégalaise l’accès à la bonne information, d’avoir des espaces de dialogue et de faire en sorte qu’il puisse bénéficier de renforcement de compétence et de connaissance sur le plaidoyer, sur la question des droits humains et des politiques de santé au Sénégal et sur l’environnement juridique du Sénégal.
Selon la coordonnatrice qui a exprimé ses attentes au nom de la Task Force, il s’agit d’une meilleure compréhension du plaidoyer par les professionnels des médias, un meilleur traitement médiatique des cas de viol et d’inceste et une contribution assez effective des médias sénégalais en ce qui concerne la dissémination de l’information, de la bonne information auprès de toutes les couches de la population sénégalaise. Mais aussi, de pousser les médias à réaliser des contenus rédactionnels afin d’aller plus dans la recherche approfondie par rapport au plaidoyer de la lutte contre l’avortement clandestin.
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