Les déplacements pour aller au travail, en revenir ou pour un tout autre besoin constituent un véritable casse-tête pour nombre de Dakarois depuis la mise en vigueur de l'état d’urgence assorti de couvre-feu. Les usagers des transports en commun notamment privés éprouvent d'énormes problèmes pour se déplacer convenablement dans la région de Dakar.
Une descente de Dakaractu, au rond-point "case bi" a permis aux populations rencontrées sur place de soulever les problèmes auxquels elles font face depuis le mardi 5 janvier 2021. La hausse illégale des prix des transports, le « saucissonnement » des trajets et le manque de véhicules tels sont les difficultés auxquelles les usagers doivent faire face pour vaquer à leurs occupations aux heures de pointe, plus précisément à partir de 19 h.
Hormis ces difficultés, les populations doivent aussi braver les stratagèmes des voleurs et agresseurs. Au moment où tout un chacun s'empresse à trouver un véhicule pour rentrer à la maison, nombre d'entre eux deviennent des proies faciles pour les malintentionnés.
« Des cas de vol ou des agressions sont souvent observés, vu la manière dont les gens s'engouffrent dans les bus ou "cars rapides", pour rentrer avant la survenue du couvre-feu », nous renseigne Mamadou Diallo, un commerçant rencontré sur place.
Toutefois, ils demandent au président de la République Macky Sall de revoir l'heure du couvre-feu qui est fixée de 21h à 5h du matin. Au minimum d'y rajouter une heure de plus pour leur épargner cette situation qu'ils considèrent comme plus que grave...
Une descente de Dakaractu, au rond-point "case bi" a permis aux populations rencontrées sur place de soulever les problèmes auxquels elles font face depuis le mardi 5 janvier 2021. La hausse illégale des prix des transports, le « saucissonnement » des trajets et le manque de véhicules tels sont les difficultés auxquelles les usagers doivent faire face pour vaquer à leurs occupations aux heures de pointe, plus précisément à partir de 19 h.
Hormis ces difficultés, les populations doivent aussi braver les stratagèmes des voleurs et agresseurs. Au moment où tout un chacun s'empresse à trouver un véhicule pour rentrer à la maison, nombre d'entre eux deviennent des proies faciles pour les malintentionnés.
« Des cas de vol ou des agressions sont souvent observés, vu la manière dont les gens s'engouffrent dans les bus ou "cars rapides", pour rentrer avant la survenue du couvre-feu », nous renseigne Mamadou Diallo, un commerçant rencontré sur place.
Toutefois, ils demandent au président de la République Macky Sall de revoir l'heure du couvre-feu qui est fixée de 21h à 5h du matin. Au minimum d'y rajouter une heure de plus pour leur épargner cette situation qu'ils considèrent comme plus que grave...
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