Le ministre de l'environnement et du développement durable, Abdou Karim Sall, accompagné du représentant de l'Institut mondial de la croissance verte appelé GGGI au Sénégal, a lancé dans la sainte ville de Tivaouane, les activités du projet de gestion des déchets plastiques, des eaux usées et des déchets d'équipements électriques et électroniques dans les villes secondaires du Sénégal.
Le coût du projet financé par GGGI est estimé à 3 millions d'euros. Ainsi, cet atelier de lancement marque à la fois, le démarrage effectif des activités de la campagne d'éducation et de sensibilisation pour le changement de comportement préalable à la réussite du projet qui va générer 700 emplois verts.
Selon Abdou Karim Sall, ce programme concerne la ville sainte de Touba avec la valorisation du plastique à hauteur de 2.000 tonnes par an. Pour la ville sainte, il s'agira de valoriser les boues de vidange. Et enfin, Dakar en ce qui concerne le traitement des déchets d'équipements électriques et électroniques.
L'importance d'un tel projet, selon Abdou Karim Sall, nécessite "une mobilisation générale pour forger l’image d’un nouveau Sénégal ; un Sénégal plus propre dans ses quartiers, plus propre dans ses villages, plus propre dans ses villes ; en un mot un Sénégal "Zéro déchet" conformément à la vision du Président Macky Sall. En d'autre termes, ce premier jalon s’inscrit, fait-il remarquer, "dans le sillage des nombreuses actions engagées par le gouvernement et les partenaires au développement pour accroître la prise en charge de la dimension environnementale dans les politiques de développement, y compris celles relatives au développement urbain".
Pour la gestion des déchets plastiques, le ministre a indiqué que "l’application de la Loi 2020- 04 du 08 janvier 2020 relative à la prévention et la réduction de l’incidence sur l’environnement des produits plastiques est entrée dans sa phase la plus importante. S'agissant des dépôts taxes, Abdou Karim Sall de signaler que "entre 3,5 et 4 milliards francs Cfa par an qui auraient dus être versés à l'Etat du Sénégal ne sont toujours pas reversés".
Le coût du projet financé par GGGI est estimé à 3 millions d'euros. Ainsi, cet atelier de lancement marque à la fois, le démarrage effectif des activités de la campagne d'éducation et de sensibilisation pour le changement de comportement préalable à la réussite du projet qui va générer 700 emplois verts.
Selon Abdou Karim Sall, ce programme concerne la ville sainte de Touba avec la valorisation du plastique à hauteur de 2.000 tonnes par an. Pour la ville sainte, il s'agira de valoriser les boues de vidange. Et enfin, Dakar en ce qui concerne le traitement des déchets d'équipements électriques et électroniques.
L'importance d'un tel projet, selon Abdou Karim Sall, nécessite "une mobilisation générale pour forger l’image d’un nouveau Sénégal ; un Sénégal plus propre dans ses quartiers, plus propre dans ses villages, plus propre dans ses villes ; en un mot un Sénégal "Zéro déchet" conformément à la vision du Président Macky Sall. En d'autre termes, ce premier jalon s’inscrit, fait-il remarquer, "dans le sillage des nombreuses actions engagées par le gouvernement et les partenaires au développement pour accroître la prise en charge de la dimension environnementale dans les politiques de développement, y compris celles relatives au développement urbain".
Pour la gestion des déchets plastiques, le ministre a indiqué que "l’application de la Loi 2020- 04 du 08 janvier 2020 relative à la prévention et la réduction de l’incidence sur l’environnement des produits plastiques est entrée dans sa phase la plus importante. S'agissant des dépôts taxes, Abdou Karim Sall de signaler que "entre 3,5 et 4 milliards francs Cfa par an qui auraient dus être versés à l'Etat du Sénégal ne sont toujours pas reversés".
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