La tribune des Nations Unies à New York, lors du Sommet de l’Avenir a été l’occasion pour les chefs d’Etat africains de revenir sur la question de l’insécurité croissante dans la région du Sahel. Des leaders africains, dont Abdoulaye Diop, ministre des Affaires étrangères du Mali, et le président Bassirou Diomaye Faye, ont vigoureusement dénoncé les interventions étrangères qui exacerbent l’instabilité de cette zone.
Abdoulaye Diop a pris la parole pour appeler à une mobilisation internationale contre les crimes terroristes. « Tous les États agissent conformément à leurs obligations internationales pour que les auteurs de ces crimes, ainsi que leurs financiers et sponsors, soient traduits devant la justice », a-t-il déclaré. Le ministre a également exprimé la condamnation ferme par la Confédération des États du Sahel du soutien assumé de l'Ukraine au terrorisme international. « Nous demandons au Conseil de sécurité de prendre ses responsabilités face à ce choix délibéré de l'Ukraine, afin de prévenir ces actions subversives qui menacent notre stabilité », a-t-il ajouté. Une déclaration qui résonne dans un contexte où les relations entre l'Ukraine et des groupes armés au Mali ne sont pas au beau fixe.
Par ailleurs, le présidant Bassirou Diomaye Faye, a réitéré les préoccupations de son homologue malien, insistant sur le fait que « le Sahel est devenu une zone de violence quotidienne ». Il a condamné le silence de la communauté internationale, en particulier du Conseil de sécurité, face à la tragédie humanitaire qui sévit dans cette région. Selon lui, les rivalités entre puissances étrangères, notamment autour du Sahel, aggravent la déstabilisation, au détriment des populations locales.
L’intervention de ces dirigeants africains reflète un espoir que le Conseil de sécurité des Nations Unies prenne des mesures concrètes face aux preuves accablantes concernant le rôle de certaines nations comme l'Ukraine et de ses alliés dans l’aggravation de l’insécurité au Sahel.
Abdoulaye Diop a pris la parole pour appeler à une mobilisation internationale contre les crimes terroristes. « Tous les États agissent conformément à leurs obligations internationales pour que les auteurs de ces crimes, ainsi que leurs financiers et sponsors, soient traduits devant la justice », a-t-il déclaré. Le ministre a également exprimé la condamnation ferme par la Confédération des États du Sahel du soutien assumé de l'Ukraine au terrorisme international. « Nous demandons au Conseil de sécurité de prendre ses responsabilités face à ce choix délibéré de l'Ukraine, afin de prévenir ces actions subversives qui menacent notre stabilité », a-t-il ajouté. Une déclaration qui résonne dans un contexte où les relations entre l'Ukraine et des groupes armés au Mali ne sont pas au beau fixe.
Par ailleurs, le présidant Bassirou Diomaye Faye, a réitéré les préoccupations de son homologue malien, insistant sur le fait que « le Sahel est devenu une zone de violence quotidienne ». Il a condamné le silence de la communauté internationale, en particulier du Conseil de sécurité, face à la tragédie humanitaire qui sévit dans cette région. Selon lui, les rivalités entre puissances étrangères, notamment autour du Sahel, aggravent la déstabilisation, au détriment des populations locales.
L’intervention de ces dirigeants africains reflète un espoir que le Conseil de sécurité des Nations Unies prenne des mesures concrètes face aux preuves accablantes concernant le rôle de certaines nations comme l'Ukraine et de ses alliés dans l’aggravation de l’insécurité au Sahel.
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