Le mouvement citoyen "Y’en a marre" est monté au créneau ce mardi 18 mars pour exprimer son rejet catégorique de la loi d’amnistie. Lors d’une conférence de presse tenue à Dakar, les membres du collectif ont exigé son abrogation totale.
Le mouvement dénonce notamment le caractère sélectif de la loi, qui, selon ses membres, profite à certains acteurs politiques tout en ignorant les victimes. « On ne peut pas tourner la page sans l’avoir lue », a déclaré Thiat. Ce dernier appelle à une mobilisation populaire, si nécessaire, pour faire pression sur les autorités.
"Y’en a marre" invite ainsi l’ensemble des organisations de la société civile, les syndicats et les citoyens à se joindre au combat contre ce qu’il qualifie de recul démocratique. Une série d’actions citoyennes serait en cours de préparation, selon les leaders du mouvement.
En toile de fond, cette prise de position s’inscrit dans un climat politique tendu, marqué par des critiques croissantes à l’encontre d’une classe dirigeante accusée de privilégier ses intérêts au détriment de l’intérêt général. Pour "Y’en a marre", la lutte continue : « L’amnistie ne doit pas être une porte ouverte à l’oubli, mais un rappel que la justice doit être au cœur de la République. »
Le mouvement dénonce notamment le caractère sélectif de la loi, qui, selon ses membres, profite à certains acteurs politiques tout en ignorant les victimes. « On ne peut pas tourner la page sans l’avoir lue », a déclaré Thiat. Ce dernier appelle à une mobilisation populaire, si nécessaire, pour faire pression sur les autorités.
"Y’en a marre" invite ainsi l’ensemble des organisations de la société civile, les syndicats et les citoyens à se joindre au combat contre ce qu’il qualifie de recul démocratique. Une série d’actions citoyennes serait en cours de préparation, selon les leaders du mouvement.
En toile de fond, cette prise de position s’inscrit dans un climat politique tendu, marqué par des critiques croissantes à l’encontre d’une classe dirigeante accusée de privilégier ses intérêts au détriment de l’intérêt général. Pour "Y’en a marre", la lutte continue : « L’amnistie ne doit pas être une porte ouverte à l’oubli, mais un rappel que la justice doit être au cœur de la République. »
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