Dans le cadre de la mise en œuvre du plan d'action de la politique nationale de la qualité (PNQ), adopté par décret en mars 2017, l'Association Sénégalaise de la Normalisation (ASN) va former une cinquantaine de personnes de structures diverses, dans la normalisation. Ceci, va permettre de réactualiser le niveau des acteurs à maîtriser le processus de normalisation pour qu'ils puissent s'approprier des différentes étapes du processus et de contribuer à la qualité des normes qui seront développées.
Selon El Hadj Abdourahmane Ndione, Directeur Général de l'Association Sénégalaise de Normalisation (ASN), cette formation va amener les acteurs à contribuer également au développement des normes internationales.
"Actuellement, ce sont les normes qui font le marché. Plus précisément en Afrique où on parle de la Zelecaf. Avec cette norme, on ne peut plus parler de contraintes douanières", a-t-il dit avant d'ajouter qu'aujourd'hui, I'ASN a enregistré de nouveaux besoins en normes dans le cadre, entre autres, de l'économie circulaire, de l'énergie, des télécommunications, de la santé.
À l'en croire, le développement très rapide des activités de normalisation nécessite une mise à niveau et une formation des membres des Comités techniques de normalisation afin qu'ils puissent assurer pleinement leur rôle d'acteurs clefs de l'élaboration des normes.
Selon El Hadj Abdourahmane Ndione, Directeur Général de l'Association Sénégalaise de Normalisation (ASN), cette formation va amener les acteurs à contribuer également au développement des normes internationales.
"Actuellement, ce sont les normes qui font le marché. Plus précisément en Afrique où on parle de la Zelecaf. Avec cette norme, on ne peut plus parler de contraintes douanières", a-t-il dit avant d'ajouter qu'aujourd'hui, I'ASN a enregistré de nouveaux besoins en normes dans le cadre, entre autres, de l'économie circulaire, de l'énergie, des télécommunications, de la santé.
À l'en croire, le développement très rapide des activités de normalisation nécessite une mise à niveau et une formation des membres des Comités techniques de normalisation afin qu'ils puissent assurer pleinement leur rôle d'acteurs clefs de l'élaboration des normes.
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