Dakaractu annonçait en Août dernier que la société de télécommunications « Free » Sénégal avait décidé de céder son portefeuille de 1200 tours, pour une durée de 15 ans à Helios Tower, gestionnaire de tours télécoms.
Une opération qui entrait dans le cadre du plan stratégique de développement de « Free » et qui permettra à la deuxième société de téléphonie du Sénégal d’engranger la somme de 160 millions d'euros (105 milliards de FCFA). Cette opération devait être bénie par les autorités sénégalaises, notamment le législateur des télécommunications, l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (Artp).
Une opération qui risque de tomber à l’eau, puisque Confidentiel la Lettre Quotidienne nous apprend ce matin que, « les plus hautes autorités du pays, ont donné instruction aux services chargés de traiter le dossier de ne pas donner suite à cette transaction. »
La raison, selon la même source se trouve dans le cahier de charges signé avec le gouvernement du Sénégal aux temps de Sentel, devenu Tigo, puis Free, « l’opérateur doit être le propriétaire exclusif de ses installations techniques ».
« Du fait de cette disposition, aucun opérateur au Sénégal ne peut vendre son infrastructure. Seuls les MVNO, les opérateurs virtuels, ont le droit d’exercer sur le marché sans disposer d’infrastructures techniques », rappelle la même ordonnance.
Dans le cas où Free persisterait dans cette transaction, informe la publication quotidienne, le gouvernement envisage purement et simplement de lui retirer la licence. C’est donc conscient des enjeux, que Yérim Sow, à la tête des actionnaires de Free, dont Xavier Niel, a déployé ses réseaux et son entregent personnel pour obtenir le quitus des autorités.
Mais en vain, lit-on sur le document, puisque « l’État entend rester ferme sur ce dossier et ne veut pas le démantèlement du réseau par quelque opérateur qu’il soit ».
Du reste, renseigne CLQ pour finir, « pour faire passer l’accord de 105 milliards, il faudrait un cadre légal pour le moment absent du dispositif du code des télécommunications qui ne permet pas à Hélios d’acheter des infrastructures appartenant à un autre opérateur et de les louer par la suite ».
Une opération qui entrait dans le cadre du plan stratégique de développement de « Free » et qui permettra à la deuxième société de téléphonie du Sénégal d’engranger la somme de 160 millions d'euros (105 milliards de FCFA). Cette opération devait être bénie par les autorités sénégalaises, notamment le législateur des télécommunications, l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (Artp).
Une opération qui risque de tomber à l’eau, puisque Confidentiel la Lettre Quotidienne nous apprend ce matin que, « les plus hautes autorités du pays, ont donné instruction aux services chargés de traiter le dossier de ne pas donner suite à cette transaction. »
La raison, selon la même source se trouve dans le cahier de charges signé avec le gouvernement du Sénégal aux temps de Sentel, devenu Tigo, puis Free, « l’opérateur doit être le propriétaire exclusif de ses installations techniques ».
« Du fait de cette disposition, aucun opérateur au Sénégal ne peut vendre son infrastructure. Seuls les MVNO, les opérateurs virtuels, ont le droit d’exercer sur le marché sans disposer d’infrastructures techniques », rappelle la même ordonnance.
Dans le cas où Free persisterait dans cette transaction, informe la publication quotidienne, le gouvernement envisage purement et simplement de lui retirer la licence. C’est donc conscient des enjeux, que Yérim Sow, à la tête des actionnaires de Free, dont Xavier Niel, a déployé ses réseaux et son entregent personnel pour obtenir le quitus des autorités.
Mais en vain, lit-on sur le document, puisque « l’État entend rester ferme sur ce dossier et ne veut pas le démantèlement du réseau par quelque opérateur qu’il soit ».
Du reste, renseigne CLQ pour finir, « pour faire passer l’accord de 105 milliards, il faudrait un cadre légal pour le moment absent du dispositif du code des télécommunications qui ne permet pas à Hélios d’acheter des infrastructures appartenant à un autre opérateur et de les louer par la suite ».
Autres articles
-
Visite du ministre Balla Moussa Fofana à Mbeubeuss : les récupérateurs exposent leurs préoccupations
-
Examens scolaires 2024 : ”Nous avons 301. 742 candidats au CFEE, 190.896 au BFEM et 159.487 pour le BAC” (MEN)
-
Examens et Concours/ Conseil interministériel : Les syndicalistes égrènent leurs paquets de doléances
-
Examens et Concours / Conseil interministériel : Les recommandations de la COSYDEP !
-
Éducation : Les directives du PM ressorties du conseil interministériel sur les examens et concours