La CSI-Afrique a présenté son rapport subséquent à l’enquête menée auprès de la population africaine et surtout nigérienne pour s’enquérir de leur préoccupation sur le coup d’État militaire qui a causé la perte du pouvoir de Bazoum.
Dans le rapport lu par Mody Guiro qui en est le président, la confédération dit niet à une intervention militaire de la CEDEAO dans ce pays. Il donne les raisons de cette position sociale. « Le recours à la diplomatie plutôt qu'à l'intervention militaire. Il est essentiel de promouvoir la paix et la stabilité, afin de garantir la protection de la vie et des moyens de subsistance des travailleurs. : L'enquête révèle le risque de retombées néfastes ou d'effets domino en cas d'intervention militaire de la CEDEAO. Les contre- menaces ouvertes du Mali et du Burkina Faso voisins soulignent la nécessité d'une approche prudente et pondérée pour résoudre ce conflit. Une décision hâtive pourrait exacerber les tensions dans la région et compliquer la situation… », explique Mody Guiro.
L’enquête mené et dont le rapport a été aussi remis aux autorités de la CEDEAO est intitulé : « Enquête d'opinion sur les événements survenus récemment au Niger et les préoccupations des travailleurs africains. »
La CSI-Afrique continue de suivre la situation et se rend compte à quel point l'impasse politique qui prévaut dans ce pays a suscité l'inquiétude des travailleurs africains et la détresse des citoyens du continent. Elle est une organisation syndicale panafricaine qui représente plus de 17 millions de travailleurs dans 53 des 54 pays africains, y compris les travailleurs de la République du Niger.
Dans le rapport lu par Mody Guiro qui en est le président, la confédération dit niet à une intervention militaire de la CEDEAO dans ce pays. Il donne les raisons de cette position sociale. « Le recours à la diplomatie plutôt qu'à l'intervention militaire. Il est essentiel de promouvoir la paix et la stabilité, afin de garantir la protection de la vie et des moyens de subsistance des travailleurs. : L'enquête révèle le risque de retombées néfastes ou d'effets domino en cas d'intervention militaire de la CEDEAO. Les contre- menaces ouvertes du Mali et du Burkina Faso voisins soulignent la nécessité d'une approche prudente et pondérée pour résoudre ce conflit. Une décision hâtive pourrait exacerber les tensions dans la région et compliquer la situation… », explique Mody Guiro.
L’enquête mené et dont le rapport a été aussi remis aux autorités de la CEDEAO est intitulé : « Enquête d'opinion sur les événements survenus récemment au Niger et les préoccupations des travailleurs africains. »
La CSI-Afrique continue de suivre la situation et se rend compte à quel point l'impasse politique qui prévaut dans ce pays a suscité l'inquiétude des travailleurs africains et la détresse des citoyens du continent. Elle est une organisation syndicale panafricaine qui représente plus de 17 millions de travailleurs dans 53 des 54 pays africains, y compris les travailleurs de la République du Niger.
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