La crise à la Compagnie aérienne Sénégal Airlines a refait surface, lors de la cérémonie de signature pour la mise en place de la nouvelle Station balnéaire de pointe Sarène.
En effet, selon Actusen.com, interrogé sur la question, Abdoulaye Diouf Sarr a précisé que "l’Etat ne doit aucun arriéré de salaires aux agents de la Compagnie". Selon lui, «Sénégal Airlines est une entreprise privée, qui gère un secteur stratégique”.
Se voulant formel, le ministre persiste et signe : “l’Etat ne doit aucun salaire aux agents de la Compagnie. Il s’est engagé dans une démarche de redressement et de restructuration pour sortir Sénégal Airlines de cette situation. Ceci entre dans le cadre d’un processus enclenché par l’entreprise au niveau de ses instances interne de nettoiement de la compagnie ».
Pour rappel, depuis quelque temps, les travailleurs de Sénégal Airlines multiplient les mouvements d’humeur, aux fins, disent-ils, d’exiger le paiement de leurs salaires, ainsi que le sauvetage de leur outil de travail. En atteste leur marche pacifique de la semaine dernière.
Par conséquent, avec cette sortie du ministre, le doute n’est pas permis : il y aura incontestablement un regain de tension à l’Aéroport Léopold Sédar Senghor. Où il faut s’attendre, prochainement, à un crash agents de ladite Compagnie et la tutelle.
En effet, selon Actusen.com, interrogé sur la question, Abdoulaye Diouf Sarr a précisé que "l’Etat ne doit aucun arriéré de salaires aux agents de la Compagnie". Selon lui, «Sénégal Airlines est une entreprise privée, qui gère un secteur stratégique”.
Se voulant formel, le ministre persiste et signe : “l’Etat ne doit aucun salaire aux agents de la Compagnie. Il s’est engagé dans une démarche de redressement et de restructuration pour sortir Sénégal Airlines de cette situation. Ceci entre dans le cadre d’un processus enclenché par l’entreprise au niveau de ses instances interne de nettoiement de la compagnie ».
Pour rappel, depuis quelque temps, les travailleurs de Sénégal Airlines multiplient les mouvements d’humeur, aux fins, disent-ils, d’exiger le paiement de leurs salaires, ainsi que le sauvetage de leur outil de travail. En atteste leur marche pacifique de la semaine dernière.
Par conséquent, avec cette sortie du ministre, le doute n’est pas permis : il y aura incontestablement un regain de tension à l’Aéroport Léopold Sédar Senghor. Où il faut s’attendre, prochainement, à un crash agents de ladite Compagnie et la tutelle.
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