Les difficiles périodes que traverse l’Université du Sine Saloum El Hâdji Ibrahima Niass (Ussein) inquiètent de jour en jour la communauté universitaire dudit temple du savoir. Dans un communiqué parcouru par dakaractu, la communauté universitaire et particulièrement le Syndicat autonome des enseignants du supérieur (Saes) déplore «le retard accusé dans la reprise des activités pédagogiques à l’Ussein et s’indigne du mutisme assourdissant des autorités sur la question, mais surtout de la léthargie du gouvernement dans la recherche de solutions d’urgence pour sauver cette reprise afin de juguler l’accumulation des retards pour un retour à la situation normale».
D’après le document, «malgré l’état d’avancement des chantiers à l’Ussein, qui ne nécessitent que peu d’efforts pour être livrés, nos autorités universitaires optent toujours pour des solutions faciles et peu durables (réparation des locaux prêtés menaçant ruine) aux risques et périls des usagers (enseignants, étudiants et PATS)».
Et de préciser : «Cette posture face à cette crise qui sévit à l’Ussein, poursuit le communiqué, montre une fois de plus que l’enseignement supérieur n’est pas une priorité pour nos autorités qui pourtant chantent «urbi et orbi» que leur objectif principal est le retour à un calendrier académique normal pour un enseignement supérieur rayonnant». En effet, depuis près de six ans, l’Ussein ne cesse d’enregistrer des retards concédés et les lenteurs pour «la reprise des activités pédagogiques 2024 à l’Ussein est un coup dur qui risque d’anéantir les nombreux efforts et sacrifices consentis par la communauté universitaire».
Cependant, la coordination Saes-Ussein qui compte aller jusqu’au bout de son combat informe l’opinion publique nationale et internationale que «ce retard, avec les nombreuses conséquences qui peuvent en découler, est imputable aux errements des autorités en charge de l’enseignement supérieur qui endosseront toute la responsabilité».
D’après le document, «malgré l’état d’avancement des chantiers à l’Ussein, qui ne nécessitent que peu d’efforts pour être livrés, nos autorités universitaires optent toujours pour des solutions faciles et peu durables (réparation des locaux prêtés menaçant ruine) aux risques et périls des usagers (enseignants, étudiants et PATS)».
Et de préciser : «Cette posture face à cette crise qui sévit à l’Ussein, poursuit le communiqué, montre une fois de plus que l’enseignement supérieur n’est pas une priorité pour nos autorités qui pourtant chantent «urbi et orbi» que leur objectif principal est le retour à un calendrier académique normal pour un enseignement supérieur rayonnant». En effet, depuis près de six ans, l’Ussein ne cesse d’enregistrer des retards concédés et les lenteurs pour «la reprise des activités pédagogiques 2024 à l’Ussein est un coup dur qui risque d’anéantir les nombreux efforts et sacrifices consentis par la communauté universitaire».
Cependant, la coordination Saes-Ussein qui compte aller jusqu’au bout de son combat informe l’opinion publique nationale et internationale que «ce retard, avec les nombreuses conséquences qui peuvent en découler, est imputable aux errements des autorités en charge de l’enseignement supérieur qui endosseront toute la responsabilité».
Autres articles
-
Révocation à la Mairie de Dakar: Barthélémy Dias n’est plus président de Metropolis
-
14 milliards sous les roues des 4x4 : Le célèbre loueur de voitures de luxe de l’État du Sénégal Mahmadane Sarr en plein scandale financier retentissant
-
Thiès - Lenteur dans la finalisation et la livraison du pavillon de 1000 lits de l'UIDT : La conférence des amicales d'étudiants décrète 72 heures de cessation immédiate de toute activité pédagogique et des journées sans ticket
-
Corée du Sud: les enquêteurs entrent chez le président pour l'arrêter, en montant sur des "échelles", selon l'agence Yonhap
-
Cession, extinction, contournements, les scénarios possibles pour TikTok aux Etats-Unis