Ils sont nombreux ces footballeurs qui attendent, pendant longtemps, un appel de leur pays d’adoption, avant de se retourner vers leurs origines et certains après avoir été oubliés après un ou deux matches aussi bien officiels qu’amicaux, profitent du règlement les autorisant à changer de nationalité sportive avant leurs 21 ans.
Selon Zvonimir Boban, le vice-secrétaire général de la FIFA en charge du football, il se pourrait bien que la donne change très prochainement. En effet, ce dernier a annoncé que la FIFA serait pour l’abrogation de ladite disposition.
Car c’est sur l’Île, le 30 mai 2008, que la proposition de Mohamed Raouraoua, président de la FAF (Fédération algérienne de football) de l’époque est passée. Mais pour Boban, il faut en finir avec ça. « Nous sommes contre cette valse de sélections. Un footballeur ou une footballeuse est avant tout un être humain. Il a un cerveau, un vécu, une éducation civique et sait qu’il est Belge, Sénégalais ou Français. On ne peut pas switcher avec des pays comme on le fait avec des clubs. Ce n’est pas acceptable à mon sens. Ce n’est pas ma conception du football. Lorsqu’on porte un maillot national, on doit le faire par amour et choisir d’emblée le pays cher à son cœur« , a confié l’ancien métronome de la Croatie, la semaine dernière au Congrès de l’AIPS (Association internationale de la Presse sportive à Lausanne en Suisse.
Une nouvelle qui ne devrait pas ravir notamment les pays africains, en manque de véritable politique sportive et friands de ces binationaux, car toujours à la traîne en matière de formation.
Selon Zvonimir Boban, le vice-secrétaire général de la FIFA en charge du football, il se pourrait bien que la donne change très prochainement. En effet, ce dernier a annoncé que la FIFA serait pour l’abrogation de ladite disposition.
Car c’est sur l’Île, le 30 mai 2008, que la proposition de Mohamed Raouraoua, président de la FAF (Fédération algérienne de football) de l’époque est passée. Mais pour Boban, il faut en finir avec ça. « Nous sommes contre cette valse de sélections. Un footballeur ou une footballeuse est avant tout un être humain. Il a un cerveau, un vécu, une éducation civique et sait qu’il est Belge, Sénégalais ou Français. On ne peut pas switcher avec des pays comme on le fait avec des clubs. Ce n’est pas acceptable à mon sens. Ce n’est pas ma conception du football. Lorsqu’on porte un maillot national, on doit le faire par amour et choisir d’emblée le pays cher à son cœur« , a confié l’ancien métronome de la Croatie, la semaine dernière au Congrès de l’AIPS (Association internationale de la Presse sportive à Lausanne en Suisse.
Une nouvelle qui ne devrait pas ravir notamment les pays africains, en manque de véritable politique sportive et friands de ces binationaux, car toujours à la traîne en matière de formation.
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