Depuis 17 heures, l’information est devenue virale sur les réseaux sociaux. Elle passe en boucle dans les groupes WhatsApp. Salif Sadio est mort. Nous avons actionné nos radars et nos drones que nous avons orientés vers le nord Sindian pour vérification. Mais les ondes sonores que nous avons recueillies par les liaisons téléphoniques avec des sources proches du maquis et de cette zone nous ont révélé n’avoir pas eu échos de la mort du chef de guerre de Atika.
La première source que nous sommes parvenus à câbler nous a informés avoir été en contact direct avec un des lieutenants très proches de Salif Sadio. La réponse du chef de guerre a été hilarante. « Ils ont encore annoncé ma mort. Donc je vais vivre longtemps » a rappelé cette source qui connaît bien le chemin qui mene vers Salif Sadio.
Une autre source proche a été encore plus précise : « Lorsque j’ai eu l’information, j’ai appelé au village. Et le fils du chef d'un village ( de la zone dont nous avons préféré taire le nom) de qui semblait venir l’information m’a fait savoir qu’il a transmis l’information à la presse. Sauf que c’est dans un groupe WhatsApp qu’il a vu la nouvelle » nous a-t-elle soufflé.
A la question de savoir s'il connaît la personne qui a posté l’information dans le groupe, notre source nous dit que ce fils du chef de village « lui a promis de poursuivre les recoupements pour en savoir plus et lui revenir».
Du côté de l’Etat, tous les leviers ont été actionnés, mais rien. Le gouvernement poursuit ses recoupements, les renseignements généraux ne confirment, ni infirment.
En somme, tout le monde fouille partout pour se rassurer de la véracité de ce décès. Donner une telle information pourrait être un ballon de sonde pour avoir des subterfuges pour s’échapper et certainement changer de cache.
La première source que nous sommes parvenus à câbler nous a informés avoir été en contact direct avec un des lieutenants très proches de Salif Sadio. La réponse du chef de guerre a été hilarante. « Ils ont encore annoncé ma mort. Donc je vais vivre longtemps » a rappelé cette source qui connaît bien le chemin qui mene vers Salif Sadio.
Une autre source proche a été encore plus précise : « Lorsque j’ai eu l’information, j’ai appelé au village. Et le fils du chef d'un village ( de la zone dont nous avons préféré taire le nom) de qui semblait venir l’information m’a fait savoir qu’il a transmis l’information à la presse. Sauf que c’est dans un groupe WhatsApp qu’il a vu la nouvelle » nous a-t-elle soufflé.
A la question de savoir s'il connaît la personne qui a posté l’information dans le groupe, notre source nous dit que ce fils du chef de village « lui a promis de poursuivre les recoupements pour en savoir plus et lui revenir».
Du côté de l’Etat, tous les leviers ont été actionnés, mais rien. Le gouvernement poursuit ses recoupements, les renseignements généraux ne confirment, ni infirment.
En somme, tout le monde fouille partout pour se rassurer de la véracité de ce décès. Donner une telle information pourrait être un ballon de sonde pour avoir des subterfuges pour s’échapper et certainement changer de cache.
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