Les populations de la commune de Dabo saluent les réalisations du projet d’appui au secteur de l’électricité (PASE). Elles l’ont fait savoir lors de la mission de supervision du projet dans leur localité ce lundi 21 février 2022. Ce projet (PASE) qui vise l’amélioration de la gouvernance du secteur et de promouvoir un accès universel et abordable de l’électricité. Et selon des chiffres donnés par la municipalité, il y a 5.000 bénéficiaires pour plus de 1.000 abonnements pour le moment.
Ainsi avec le PASE, le quotidien des ménages s’est amélioré sans parler du développement des petites et moyennes entreprises. Ce changement a beaucoup freiné l’immigration clandestine et l’exode rural en permettant aux jeunes de travailler et réussir sur place.
L’un des éléments les plus frappants restent le recul de la mortalité infantile et maternelle avec l’arrivée de l’électricité. Pour Diouldé Baldé, matrone au poste de santé « avant l’arrivée de l’électricité (continu) nous souffrions beaucoup puisque le taux de mortalité infantile et maternelle était très élevé. Et nous avions dû mal conserver certains produits comme les vaccins. »
Dans la foulée, elle précise « et pire encore, on faisait accoucher les femmes avec des torches et des bougies avec tous les risque encourus. Mais aujourd’hui, grâce au PASE tous ces désagréments sont de vieux souvenirs. C’est pourquoi le taux de mortalité maternelle et infantile a beaucoup reculé dans la commune. Nous remercions beaucoup le PASE, la SENELEC et tout le monde pour ces réalisations. »
Toutes les personnes interrogées se disent satisfaites de ce programme. Aujourd’hui, les femmes s’activent dans le commerce de glace, de rafraichissements entre autres. Elles déclarent en ce sens « bien gagner leur vie grâce à l’arrivée de l’électricité ».
À en croire le maire Idrissa Baldé, « avant l’arrivée du PASE, on bénéficiait de l’électricité que de 16 h à 22 h ou à minuit. Mais avec le programme PASE/Banque Mondiale, les populations ont poussé un ouf de soulagement. Aujourd’hui, nous sommes passés de monophasé à triphasé. C’est pourquoi on dit que sans électricité, il n’y a pas de développement. Et actuellement, on peut dire que 90% de la population a accès à l’électricité. »
Dans cette optique, il poursuit : « nous constatons des ateliers de couture ou de soudure métallique partout travaillant sans relâche. En ce moment, nous avons dépassé les mille abonnements qui ont atteint 5000 bénéficiaires pour une population de 8. 000 habitants environ. Et le programme se déroule bien dans notre commune car les populations ont été fortement impliquées dans le processus. »
Ainsi avec le PASE, le quotidien des ménages s’est amélioré sans parler du développement des petites et moyennes entreprises. Ce changement a beaucoup freiné l’immigration clandestine et l’exode rural en permettant aux jeunes de travailler et réussir sur place.
L’un des éléments les plus frappants restent le recul de la mortalité infantile et maternelle avec l’arrivée de l’électricité. Pour Diouldé Baldé, matrone au poste de santé « avant l’arrivée de l’électricité (continu) nous souffrions beaucoup puisque le taux de mortalité infantile et maternelle était très élevé. Et nous avions dû mal conserver certains produits comme les vaccins. »
Dans la foulée, elle précise « et pire encore, on faisait accoucher les femmes avec des torches et des bougies avec tous les risque encourus. Mais aujourd’hui, grâce au PASE tous ces désagréments sont de vieux souvenirs. C’est pourquoi le taux de mortalité maternelle et infantile a beaucoup reculé dans la commune. Nous remercions beaucoup le PASE, la SENELEC et tout le monde pour ces réalisations. »
Toutes les personnes interrogées se disent satisfaites de ce programme. Aujourd’hui, les femmes s’activent dans le commerce de glace, de rafraichissements entre autres. Elles déclarent en ce sens « bien gagner leur vie grâce à l’arrivée de l’électricité ».
À en croire le maire Idrissa Baldé, « avant l’arrivée du PASE, on bénéficiait de l’électricité que de 16 h à 22 h ou à minuit. Mais avec le programme PASE/Banque Mondiale, les populations ont poussé un ouf de soulagement. Aujourd’hui, nous sommes passés de monophasé à triphasé. C’est pourquoi on dit que sans électricité, il n’y a pas de développement. Et actuellement, on peut dire que 90% de la population a accès à l’électricité. »
Dans cette optique, il poursuit : « nous constatons des ateliers de couture ou de soudure métallique partout travaillant sans relâche. En ce moment, nous avons dépassé les mille abonnements qui ont atteint 5000 bénéficiaires pour une population de 8. 000 habitants environ. Et le programme se déroule bien dans notre commune car les populations ont été fortement impliquées dans le processus. »
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