Sur la grande banderole, déroulée derrière le podium où se sont produits les orchestres qui ont animé le meeting de la Dynamique pour l’émergence d’une nouvelle République, on pouvait lire « Une nouvelle République pour des institutions fortes et modernes ».
Parrain de ce mouvement, Denis-Christel Sassou-Nguesso a défini la forme même de cette nouvelle République qu’il appelle de ses vœux : « Il ne s’agit pas uniquement d’un changement de Constitution, encore moins d’une révision de la Constitution existante. Il s’agit de la refondation de notre République, de nos institutions et avant tout de notre pratique collective de la politique»
La Dynamique, qui veut d’une nouvelle Constitution, appelle les Congolais à participer au dialogue. L’opposition, quant à elle, exige la présence de la communauté internationale à ce dialogue. Pascal Tsaty Mabiala de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS) invite le pouvoir à retirer simplement son projet de vouloir changer la loi fondamentale : « Dans les grands pays démocratiques, quand le président lance un projet qui requiert le consensus, s’il n’y a pas de consensus, il retire ce projet. Le président pouvait simplement retirer [son projet] et nous pensons qu’il a encore le temps de le faire. C’est l’appel que je lance au président. »
De l’appel de l’opposition, le dialogue va baliser le chemin du référendum.
Parrain de ce mouvement, Denis-Christel Sassou-Nguesso a défini la forme même de cette nouvelle République qu’il appelle de ses vœux : « Il ne s’agit pas uniquement d’un changement de Constitution, encore moins d’une révision de la Constitution existante. Il s’agit de la refondation de notre République, de nos institutions et avant tout de notre pratique collective de la politique»
La Dynamique, qui veut d’une nouvelle Constitution, appelle les Congolais à participer au dialogue. L’opposition, quant à elle, exige la présence de la communauté internationale à ce dialogue. Pascal Tsaty Mabiala de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS) invite le pouvoir à retirer simplement son projet de vouloir changer la loi fondamentale : « Dans les grands pays démocratiques, quand le président lance un projet qui requiert le consensus, s’il n’y a pas de consensus, il retire ce projet. Le président pouvait simplement retirer [son projet] et nous pensons qu’il a encore le temps de le faire. C’est l’appel que je lance au président. »
De l’appel de l’opposition, le dialogue va baliser le chemin du référendum.
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