L’enquête sur la mort de François Mancabou, ce mystérieux détenu de l’affaire dite des « Forces spéciales », connaît un nouveau rebondissement. Libération révèle dans son édition de ce lundi 17 février que le juge du deuxième cabinet du tribunal de Dakar a relancé le dossier en convoquant les anciens compagnons de cellule du défunt. Un développement qui pourrait faire éclater une vérité longtemps enfouie sous les versions contradictoires des autorités et des proches du disparu.
Un décès entouré de zones d’ombre
Arrêté dans le cadre de l’enquête de la Sûreté urbaine, François Mancabou avait été placé en garde à vue avec d’autres suspects. Selon la version officielle, il se serait mortellement blessé en cognant violemment contre le mur de sa cellule, avant de succomber à ses blessures le 13 juillet 2022 à l’hôpital Principal. Une explication que sa famille et ses soutiens rejettent catégoriquement, dénonçant des actes de torture qui auraient conduit à sa mort.
Deux ans après les faits, l’émission de nouvelles convocations laisse penser que le magistrat instructeur cherche à éclaircir certains points restés flous. Libération souligne que ces auditions pourraient permettre de recueillir des témoignages cruciaux et, peut-être, de confronter la version officielle aux révélations des anciens codétenus de Mancabou.
Une affaire sous haute tension
Ce rebondissement relance un dossier qui n’a jamais cessé de susciter des interrogations. La famille du défunt, ses avocats et plusieurs organisations de défense des droits humains ont maintes fois exigé une enquête indépendante. Cette nouvelle initiative judiciaire sera-t-elle le premier pas vers une requalification des faits ? L’ouverture d’un procès ? Ou une simple formalité destinée à clore définitivement l’affaire ?
Dans tous les cas, l’affaire François Mancabou est loin d’être enterrée. Avec ces nouvelles auditions, la vérité semble plus que jamais chercher à refaire surface. Reste à savoir si elle sera audible pour tous.
Un décès entouré de zones d’ombre
Arrêté dans le cadre de l’enquête de la Sûreté urbaine, François Mancabou avait été placé en garde à vue avec d’autres suspects. Selon la version officielle, il se serait mortellement blessé en cognant violemment contre le mur de sa cellule, avant de succomber à ses blessures le 13 juillet 2022 à l’hôpital Principal. Une explication que sa famille et ses soutiens rejettent catégoriquement, dénonçant des actes de torture qui auraient conduit à sa mort.
Deux ans après les faits, l’émission de nouvelles convocations laisse penser que le magistrat instructeur cherche à éclaircir certains points restés flous. Libération souligne que ces auditions pourraient permettre de recueillir des témoignages cruciaux et, peut-être, de confronter la version officielle aux révélations des anciens codétenus de Mancabou.
Une affaire sous haute tension
Ce rebondissement relance un dossier qui n’a jamais cessé de susciter des interrogations. La famille du défunt, ses avocats et plusieurs organisations de défense des droits humains ont maintes fois exigé une enquête indépendante. Cette nouvelle initiative judiciaire sera-t-elle le premier pas vers une requalification des faits ? L’ouverture d’un procès ? Ou une simple formalité destinée à clore définitivement l’affaire ?
Dans tous les cas, l’affaire François Mancabou est loin d’être enterrée. Avec ces nouvelles auditions, la vérité semble plus que jamais chercher à refaire surface. Reste à savoir si elle sera audible pour tous.
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