La Direction de la Famille en partenariat avec AFRYAN Girls (réseau des jeunes filles et adolescentes) a organisé les 19, 20 et 21 Aout à Pikine (dans la région de Dakar), un atelier de formation des jeunes sur l'utilisation des médias sociaux dans la promotion de l'abandon de l'excision.
La cérémonie d'ouverture a été présidée par le secrétaire général adjoint du ministère de la Femme de la Famille et de l'Enfance M. Coly en présence du Coordonnateur du programme conjoint M Gallo Kébé de l'UNFPA, du Président du Réseau POPDEV et de la Présidente de AFRYAN GIRLS.
L'atelier a réuni 30 jeunes issus des différents mouvements de jeunesse de la région de Dakar, venus s’imprégner de cette pratique qui porte atteinte à l’intégrité physique, à la santé reproductive et sexuelle et à la dignité de la femme. "Dans des cas extrêmes, l’excision peut même violer le droit à la vie c’est-à-dire aboutir à la mort du fait des hémorragies ou infections" a-t-on indiqué.
La cérémonie de clôture de l'atelier organisée hier Jeudi 21 Aout a été présidée par Mme Astou Diouf Directrice de la Famille qui a expliqué que « l’excision étant un fait culturel, une pratique traditionnelle, il faut une approche non coercitive et non critique pour arriver à l’abandon. A la suite de ce principe, qui installe le dialogue social, une prise de conscience de la part de la communauté des dégâts causés par la pratique peut naître ».
La cérémonie été aussi marquée par la remise des diplômes et la lecture de la déclaration du réseau des jeunes, filles et adolescentes appelés à promouvoir l'abandon de l'excision sur l'ensemble du territoire national.
La cérémonie d'ouverture a été présidée par le secrétaire général adjoint du ministère de la Femme de la Famille et de l'Enfance M. Coly en présence du Coordonnateur du programme conjoint M Gallo Kébé de l'UNFPA, du Président du Réseau POPDEV et de la Présidente de AFRYAN GIRLS.
L'atelier a réuni 30 jeunes issus des différents mouvements de jeunesse de la région de Dakar, venus s’imprégner de cette pratique qui porte atteinte à l’intégrité physique, à la santé reproductive et sexuelle et à la dignité de la femme. "Dans des cas extrêmes, l’excision peut même violer le droit à la vie c’est-à-dire aboutir à la mort du fait des hémorragies ou infections" a-t-on indiqué.
La cérémonie de clôture de l'atelier organisée hier Jeudi 21 Aout a été présidée par Mme Astou Diouf Directrice de la Famille qui a expliqué que « l’excision étant un fait culturel, une pratique traditionnelle, il faut une approche non coercitive et non critique pour arriver à l’abandon. A la suite de ce principe, qui installe le dialogue social, une prise de conscience de la part de la communauté des dégâts causés par la pratique peut naître ».
La cérémonie été aussi marquée par la remise des diplômes et la lecture de la déclaration du réseau des jeunes, filles et adolescentes appelés à promouvoir l'abandon de l'excision sur l'ensemble du territoire national.
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