Dakaractu a annoncé tard dans la soirée d'hier, l'accident survenu à l'avion en évacuation sanitaire pour le compte de la compagnie Sénégal Air, en provenance de Ouagadougou (Burkina Faso), qui s'est écrasé à 111 kilomètres de Dakar.
D'après les premières informations en notre possession, l'origine du drame serait une panne de kérosène, qui a fini d'emporter l'unique avion de la compagnie Sénégal Air.
Selon une source bien au fait de l'affaire, l'avion en question n'était même pas apte pour aller jusqu'au Burkina Faso. Par conséquent, si les contrôles techniques avaient été faits avec plus de rigueur, l'appareil en question n'aurait jamais du obtenir un certificat de navigabilité pour effectuer ce voyage.
Ainsi, les hautes autorités de l'aéroport seraient en train de pointer du doigt les responsables de l'Agence nationale de l’Aviation civile et de la météorologie (ANACIM) qui ont laissé faire. Mieux, les informations qui ont révélé que l'appareil était à court de kérosène, ont aussi précisé qu'en cette période d'hivernage où il y a généralement beaucoup de vent, les appareils prennent deux fois plus de carburant qu'en temps normal.
Nos tentatives de joindre les responsables de l'ANACIM sont restées vaines.
Nous y reviendrons...
D'après les premières informations en notre possession, l'origine du drame serait une panne de kérosène, qui a fini d'emporter l'unique avion de la compagnie Sénégal Air.
Selon une source bien au fait de l'affaire, l'avion en question n'était même pas apte pour aller jusqu'au Burkina Faso. Par conséquent, si les contrôles techniques avaient été faits avec plus de rigueur, l'appareil en question n'aurait jamais du obtenir un certificat de navigabilité pour effectuer ce voyage.
Ainsi, les hautes autorités de l'aéroport seraient en train de pointer du doigt les responsables de l'Agence nationale de l’Aviation civile et de la météorologie (ANACIM) qui ont laissé faire. Mieux, les informations qui ont révélé que l'appareil était à court de kérosène, ont aussi précisé qu'en cette période d'hivernage où il y a généralement beaucoup de vent, les appareils prennent deux fois plus de carburant qu'en temps normal.
Nos tentatives de joindre les responsables de l'ANACIM sont restées vaines.
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