La présentation de la nouvelle Stratégie nationale de développement (SND), organisée par le gouvernement du Sénégal lundi dernier à Diamniadio, a suscité une vive réaction au sein de la société civile. La Commission des Acteurs de la Société Civile pour le Suivi des Politiques Publiques (Case), regroupant plusieurs pôles influents de la société sénégalaise, a exprimé son mécontentement face à son exclusion de cette importante activité de validation.
Dans un communiqué, la CASE, qui regroupe sept pôles, dont le Groupe d’Initiative des Femmes (Gif), les centrales syndicales, les jeunes, les Organisations des Personnes Handicapées (OPH), et les aînés, a fait part de ses préoccupations quant à la vision et à la pertinence de cette nouvelle stratégie. Elle déplore l’absence d’une véritable étude prospective avant la mise en place du nouveau référentiel, une démarche pourtant essentielle pour un projet de cette envergure.
« La dernière étude prospective du Sénégal remonte à 2010, et elle avait permis de définir une vision de développement du pays jusqu’en 2035 », rappelle la CASE . Elle souligne qu’une mise à jour de cette analyse aurait été cruciale pour s’assurer que les enjeux actuels et futurs soient correctement pris en compte dans la nouvelle stratégie.
Alors que le Sénégal est à un tournant décisif de son développement, l’absence de dialogue entre le gouvernement et les forces vives de la société civile, notamment celles représentées par la CASE, soulève des questions sur l’inclusivité et la pertinence des politiques publiques en cours d’élaboration. La société civile attend désormais des réponses claires et une plus grande ouverture de la part des autorités pour corriger ce qui est perçu comme une mise à l’écart injustifiée.
Dans un communiqué, la CASE, qui regroupe sept pôles, dont le Groupe d’Initiative des Femmes (Gif), les centrales syndicales, les jeunes, les Organisations des Personnes Handicapées (OPH), et les aînés, a fait part de ses préoccupations quant à la vision et à la pertinence de cette nouvelle stratégie. Elle déplore l’absence d’une véritable étude prospective avant la mise en place du nouveau référentiel, une démarche pourtant essentielle pour un projet de cette envergure.
« La dernière étude prospective du Sénégal remonte à 2010, et elle avait permis de définir une vision de développement du pays jusqu’en 2035 », rappelle la CASE . Elle souligne qu’une mise à jour de cette analyse aurait été cruciale pour s’assurer que les enjeux actuels et futurs soient correctement pris en compte dans la nouvelle stratégie.
Alors que le Sénégal est à un tournant décisif de son développement, l’absence de dialogue entre le gouvernement et les forces vives de la société civile, notamment celles représentées par la CASE, soulève des questions sur l’inclusivité et la pertinence des politiques publiques en cours d’élaboration. La société civile attend désormais des réponses claires et une plus grande ouverture de la part des autorités pour corriger ce qui est perçu comme une mise à l’écart injustifiée.
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