La Fédération Nationale des Cadres Libéraux dans un communiqué dit se solidariser des travailleurs, et particulièrement des fonctionnaires et dénonce vigoureusement la remise en cause des acquis sociaux octroyés par le Président Abdoulaye WADE avec la suppression annoncée de certains indemnités et avantages par le ministre des Finances Amadou Ba. Qui, ajoute la note, de par ses déclarations semble préparer l’opinion à une nouvelle politique d’ajustement structurelle.
Appréciant la situation politique nationale, la FNCL a invité le gouvernement à « ne pas jouer à la théâtralisation dans la gestion de l’épidémie ébola » avec comme souci principal, dit-elle, de sauver la tenue à Dakar du quinzième sommet de la Francophonie.
Concernant la vie du parti, le FNCL a réitéré au Secrétaire Général National Wade, sa proposition consistant à la mise en place d’une commission nationale pour la réorganisation du parti avec une feuille de route claire confinée dans des délais précis avec en ligne de mire, la tenue du congrès du parti après la libération de nos otages.
Cette commission argue t-elle, devrait également avoir comme tâche, « de repenser notre stratégie, notre orientation pour le futur et de revisiter l’offre politique et citoyenne du parti ».
Cette mue par l’organisation du congrès qui conférera aux structures et aux responsables une légitimité renouvelée, reste, conclut la note, un passage obligé pour le PDS s’il veut continuer à jouer son rôle de grand parti de masse et de rempart pour notre démocratie.
Appréciant la situation politique nationale, la FNCL a invité le gouvernement à « ne pas jouer à la théâtralisation dans la gestion de l’épidémie ébola » avec comme souci principal, dit-elle, de sauver la tenue à Dakar du quinzième sommet de la Francophonie.
Concernant la vie du parti, le FNCL a réitéré au Secrétaire Général National Wade, sa proposition consistant à la mise en place d’une commission nationale pour la réorganisation du parti avec une feuille de route claire confinée dans des délais précis avec en ligne de mire, la tenue du congrès du parti après la libération de nos otages.
Cette commission argue t-elle, devrait également avoir comme tâche, « de repenser notre stratégie, notre orientation pour le futur et de revisiter l’offre politique et citoyenne du parti ».
Cette mue par l’organisation du congrès qui conférera aux structures et aux responsables une légitimité renouvelée, reste, conclut la note, un passage obligé pour le PDS s’il veut continuer à jouer son rôle de grand parti de masse et de rempart pour notre démocratie.
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