Si Ousmane Sonko est définitivement éliminé de la course à la présidentielle qui va assurer le leadership de la coalition Yaw de l’opposition si et seulement cette probabilité est verrouillée ? Voici la question que tout le monde se pose. Des observateurs ont tenté d’y répondre. C’est le cas de l’enseignant, Amadou Sarr qui est d’avis que le jeu démocratique est en train de balbutier. Pour lui, on s’attend à un leadership fragmenté qui va chercher à incarner l’opposition avec deux pôles au niveau des alliances et des candidatures individuelles. De son point de vue, le journaliste Abdoulaye Mbow croit qu’il appartient à l’opposition de se donner les moyens de « réduire à sa plus simple expression » le candidat du pouvoir, Amadou Ba. Selon l’analyste, l’opposition ne manque pas d’arguments pour arriver à son objectif d’instaurer la rupture dans la gestion de l’Etat.
« L’opposition doit davantage se positionner et éviter une prééminence du débat entre le candidat de BBY et les candidats issus des flancs de BBY sinon elle ira à sa perte. », a dit le politologue.
Sur les chances des candidats qui veulent opérer à la continuité notamment Amadou Ba et ses anciens compagnons sortis des flancs de la coalition BBY, ces derniers leur accordent la présomption de bonne foi mais à condition qu’ils puissent assumer le bilan du régime de Macky Sall.
« Telle qu’on analyse la situation, Macky Sall avait bien envie de faire un troisième mandat, le peuple qui est souverain est à l’origine du refus et du recul. », a déclaré l’enseignant Amadou Sarr.
« L’opposition doit davantage se positionner et éviter une prééminence du débat entre le candidat de BBY et les candidats issus des flancs de BBY sinon elle ira à sa perte. », a dit le politologue.
Sur les chances des candidats qui veulent opérer à la continuité notamment Amadou Ba et ses anciens compagnons sortis des flancs de la coalition BBY, ces derniers leur accordent la présomption de bonne foi mais à condition qu’ils puissent assumer le bilan du régime de Macky Sall.
« Telle qu’on analyse la situation, Macky Sall avait bien envie de faire un troisième mandat, le peuple qui est souverain est à l’origine du refus et du recul. », a déclaré l’enseignant Amadou Sarr.
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