Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a estimé lundi que même si l'élection présidentielle du 28 juillet au Mali était imparfaite, les résultats doivent être respectés.
J'espère que l'élection présidentielle se tiendra au Mali paisiblement, dans un climat calme, a déclaré en français M. Ban, au cours d'un point de presse à l'issue d'une rencontre avec le secrétaire général de la Francophonie, Abdou Diouf, à Paris.
Les résultats, même si l'élection peut être imparfaite, doivent être respectés par toutes les parties, a souligné Ban Ki-moon, qui a rencontré lundi le président français François Hollande et son homologue malien Dioncounda Traoré.
Les Maliens se rendent aux urnes le 28 juillet pour le premier tour de la présidentielle, mais de nombreuses voix se sont élevées pour demander un report du scrutin pour en assurer la crédibilité.
Le président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) du Mali avait déclaré en juin qu'il serait extrêmement difficile d'organiser cette élection à la date prévue tant les défis à relever sont encore nombreux.
Il avait cité le peu de temps restant pour distribuer des cartes à près de 7 millions d'électeurs, alors qu'il y a encore des centaines de milliers de réfugiés et déplacés, et la situation à Kidal, ville du nord-est du pays occupée par la rébellion touareg.
La décision de tenir le premier tour le 28 juillet, éventuellement suivi d'un second tour le 11 août, a été prise par le gouvernement malien de transition sous la pression de la communauté internationale, en particulier de la France.
L'armée française est intervenue en janvier au Mali pour chasser les groupes islamistes armés qui occupaient le Nord du pays, où ils ont multiplié les exactions.
Les élections seront crédibles et transparentes, dans les conditions qui sont les nôtres: c'est-à-dire un pays éprouvé après avoir été occupé, des populations traumatisées, a jugé samedi le ministre malien des Affaires étrangères, Tiéman Coulibaly.
J'espère que l'élection présidentielle se tiendra au Mali paisiblement, dans un climat calme, a déclaré en français M. Ban, au cours d'un point de presse à l'issue d'une rencontre avec le secrétaire général de la Francophonie, Abdou Diouf, à Paris.
Les résultats, même si l'élection peut être imparfaite, doivent être respectés par toutes les parties, a souligné Ban Ki-moon, qui a rencontré lundi le président français François Hollande et son homologue malien Dioncounda Traoré.
Les Maliens se rendent aux urnes le 28 juillet pour le premier tour de la présidentielle, mais de nombreuses voix se sont élevées pour demander un report du scrutin pour en assurer la crédibilité.
Le président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) du Mali avait déclaré en juin qu'il serait extrêmement difficile d'organiser cette élection à la date prévue tant les défis à relever sont encore nombreux.
Il avait cité le peu de temps restant pour distribuer des cartes à près de 7 millions d'électeurs, alors qu'il y a encore des centaines de milliers de réfugiés et déplacés, et la situation à Kidal, ville du nord-est du pays occupée par la rébellion touareg.
La décision de tenir le premier tour le 28 juillet, éventuellement suivi d'un second tour le 11 août, a été prise par le gouvernement malien de transition sous la pression de la communauté internationale, en particulier de la France.
L'armée française est intervenue en janvier au Mali pour chasser les groupes islamistes armés qui occupaient le Nord du pays, où ils ont multiplié les exactions.
Les élections seront crédibles et transparentes, dans les conditions qui sont les nôtres: c'est-à-dire un pays éprouvé après avoir été occupé, des populations traumatisées, a jugé samedi le ministre malien des Affaires étrangères, Tiéman Coulibaly.
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