Après seulement cinq week-ends passés à Palm Beach depuis son investiture, Donald Trump n'est déjà plus le bienvenu. Du moins pas dans les conditions actuelles. Ses séjours représentent des frais importants notamment en terme de sécurité. "Nos policiers et nos pompiers doivent travailler à 120% de leurs capacités durant les week-ends où le président vient", regrette Jeri Muoio, la maire de West Palm Beach. "Cela signifie recruter des renforts et payer des heures supplémentaires."
Espace aérien fermé
Lors des visites présidentielles, près de 200 avions restent cloués au sol chaque jour à l'aéroport local de Lantana. Les injonctions des services de renseignement ont déjà fait perdre 170.000 dollars (NDLR: 160.000 euros) à la compagnie qui gère cet aéroport.
La gestion des manifestations anti-Trump s'ajoute à la facture, qui pourrait encore gonfler à l'avenir. Si le président américain poursuit ses visites régulières, des fonds devront être levés par la petite ville pour prévenir d'éventuels attentats terroristes et lutter contre les cyberattaques.
Remboursement demandé
"Nous comprenons que le président veuille venir ici. Nous comprenons cela. C'est le paradis, n'est-ce pas?", déclare Lois Frankel, élue démocrate de West Palm Beach à la Chambre des représentants. "Nous redemandons qu'il contribue à obtenir le remboursement à ce comté et cette ville des frais occasionnés par l'installation de la Maison Blanche d'hiver."
Les entreprises locales trinquent
"Les pertes globalement enregistrées par les petites entreprises représentent à ce jour la somme stupéfiante de 720.000 dollars" (667.000 euros)", relate une lettre envoyée au président américain par des représentants démocrates de Floride.
Le comté de Palm Beach considère que les coûts des fréquentes visites présidentielles pourrait atteindre sur l'année entre 3,3 et 5,8 millions de dollars (+-3,1 et 5,4 millions d'euros).
Espace aérien fermé
Lors des visites présidentielles, près de 200 avions restent cloués au sol chaque jour à l'aéroport local de Lantana. Les injonctions des services de renseignement ont déjà fait perdre 170.000 dollars (NDLR: 160.000 euros) à la compagnie qui gère cet aéroport.
La gestion des manifestations anti-Trump s'ajoute à la facture, qui pourrait encore gonfler à l'avenir. Si le président américain poursuit ses visites régulières, des fonds devront être levés par la petite ville pour prévenir d'éventuels attentats terroristes et lutter contre les cyberattaques.
Remboursement demandé
"Nous comprenons que le président veuille venir ici. Nous comprenons cela. C'est le paradis, n'est-ce pas?", déclare Lois Frankel, élue démocrate de West Palm Beach à la Chambre des représentants. "Nous redemandons qu'il contribue à obtenir le remboursement à ce comté et cette ville des frais occasionnés par l'installation de la Maison Blanche d'hiver."
Les entreprises locales trinquent
"Les pertes globalement enregistrées par les petites entreprises représentent à ce jour la somme stupéfiante de 720.000 dollars" (667.000 euros)", relate une lettre envoyée au président américain par des représentants démocrates de Floride.
Le comté de Palm Beach considère que les coûts des fréquentes visites présidentielles pourrait atteindre sur l'année entre 3,3 et 5,8 millions de dollars (+-3,1 et 5,4 millions d'euros).
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