En Thaïlande, Khunying-Tobnom Na Songkhla a trouvé un moyen 100% naturel d'augmenter le tour de poitrine et de redessiner la forme du visage. Cette esthéticienne de 44 ans propose un traitement à base de... coups portés au visage ou à la poitrine.
Pas d'opération, pas d'anesthésie, aucune substance chimique, donc. Les clientes témoignent que le traitement peut être "assez douloureux", mais le jeu en vaudrait la chandelle. Le breast-slapping ferait gagner jusqu'à cinq centimètres de tour de poitrine en six séances de 10 minutes, explique le Bangkok Post.
"Alternative à la chirurgie plastique"
Seule esthéticienne au monde à maîtriser cet art ancestral, Khunying-Tobnom Na Songkhla l'a hérité de sa grand-mère, alors que celle-ci cherchait à faire grossir sa propre poitrine lorsqu'elle était ado.
Le ministère de la santé thaï est très intéressé par les méthodes de cette habitante de Bangkok. Il a conduit une enquête de six mois sur ses méthodes et en a conclu qu'elles constituaient une "alternative viable à la chirurgie plastique".
"Ma sagesse a beaucoup de valeur"
Khunying-Tobnom Na Songkhla enseigne aussi son art, mais seulement à dix personnes dans le monde, qu'elle a elle-même sélectionnées. Les cours sont très onéreux: 10 millions de baht - ndlr: 250.000 euros - pour apprendre le body-slapping. Huit millions de baht (ndlr: 200.000 euros) pour apprendre le breast-slapping, et 5 millions de baht (125.000 euros) pour le face-slapping course.
Pas donné mais "les cours sont chers car ma sagesse a beaucoup de valeur", estime Khunying-Tobnom Na Songkhla. (Ch.D.)
( 7sur 7.be )
Pas d'opération, pas d'anesthésie, aucune substance chimique, donc. Les clientes témoignent que le traitement peut être "assez douloureux", mais le jeu en vaudrait la chandelle. Le breast-slapping ferait gagner jusqu'à cinq centimètres de tour de poitrine en six séances de 10 minutes, explique le Bangkok Post.
"Alternative à la chirurgie plastique"
Seule esthéticienne au monde à maîtriser cet art ancestral, Khunying-Tobnom Na Songkhla l'a hérité de sa grand-mère, alors que celle-ci cherchait à faire grossir sa propre poitrine lorsqu'elle était ado.
Le ministère de la santé thaï est très intéressé par les méthodes de cette habitante de Bangkok. Il a conduit une enquête de six mois sur ses méthodes et en a conclu qu'elles constituaient une "alternative viable à la chirurgie plastique".
"Ma sagesse a beaucoup de valeur"
Khunying-Tobnom Na Songkhla enseigne aussi son art, mais seulement à dix personnes dans le monde, qu'elle a elle-même sélectionnées. Les cours sont très onéreux: 10 millions de baht - ndlr: 250.000 euros - pour apprendre le body-slapping. Huit millions de baht (ndlr: 200.000 euros) pour apprendre le breast-slapping, et 5 millions de baht (125.000 euros) pour le face-slapping course.
Pas donné mais "les cours sont chers car ma sagesse a beaucoup de valeur", estime Khunying-Tobnom Na Songkhla. (Ch.D.)
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