Ce vendredi, à Koungheul, dans la région de Kaffrine, le Président Bassirou Diomaye Faye a procédé à la pose de la première pierre du Projet de mobilisation des ressources en eau du bassin versant du Nianijia Bolong (PROMOREN). Ce projet, financé à hauteur de 36 milliards de FCFA, est soutenu à 92 % par un prêt de la Banque Islamique de Développement (BID) et à 8 % par l’État du Sénégal. Il est mis en œuvre par l’Office des Lacs et Cours d’Eau.
Selon le Chef de l’État, le PROMOREN contribuera à renforcer les capacités du pays en matière de production d’eau potable et à favoriser les initiatives économiques. « À terme, d’importantes ressources en eau mobilisées permettront la valorisation de 6 000 hectares par campagne, soit 12 000 hectares par an, contribuant ainsi à l’atteinte de la souveraineté alimentaire nationale. Ce projet traduit la volonté de l’État de répondre aux besoins en eau pour les activités agrosylvopastorales et halieutiques tout au long de l’année », a-t-il déclaré.
*« Il s’agit d’un levier stratégique pour sécuriser la productivité de l’Agropole Centre et favoriser l’insertion socio-professionnelle, avec des perspectives de création d’au moins 30 000 emplois directs, sans compter les opportunités d’emplois indirects. Ce dispositif constituera également un moyen efficace pour fixer les jeunes dans leur terroir et lutter contre le phénomène migratoire. Par ailleurs, le PROMOREN permettra une réduction des inégalités sociales en augmentant considérablement les revenus des travailleurs et entrepreneurs ruraux, notamment les agriculteurs, éleveurs et aquaculteurs, grâce à la diversification des revenus et à l’amélioration de la productivité de leurs activités. Il garantira également une équité territoriale en développant des pôles économiques pour réduire progressivement la macrocéphalie de la région de Dakar, qui concentre depuis des décennies la majorité des opportunités d’emploi du pays », a ajouté le Président Bassirou Diomaye Faye.
Le PROMOREN permettra de mobiliser annuellement 46,6 millions de m³ d’eau douce, de stopper l’intrusion des eaux salées en provenance du fleuve Gambie, et de valoriser 12 000 hectares de terres agricoles chaque année. Il contribuera également à la souveraineté alimentaire et à la résilience des écosystèmes face aux changements climatiques, tout en facilitant le développement des terroirs dans la zone du bassin arachidier.
Selon le Chef de l’État, le PROMOREN contribuera à renforcer les capacités du pays en matière de production d’eau potable et à favoriser les initiatives économiques. « À terme, d’importantes ressources en eau mobilisées permettront la valorisation de 6 000 hectares par campagne, soit 12 000 hectares par an, contribuant ainsi à l’atteinte de la souveraineté alimentaire nationale. Ce projet traduit la volonté de l’État de répondre aux besoins en eau pour les activités agrosylvopastorales et halieutiques tout au long de l’année », a-t-il déclaré.
*« Il s’agit d’un levier stratégique pour sécuriser la productivité de l’Agropole Centre et favoriser l’insertion socio-professionnelle, avec des perspectives de création d’au moins 30 000 emplois directs, sans compter les opportunités d’emplois indirects. Ce dispositif constituera également un moyen efficace pour fixer les jeunes dans leur terroir et lutter contre le phénomène migratoire. Par ailleurs, le PROMOREN permettra une réduction des inégalités sociales en augmentant considérablement les revenus des travailleurs et entrepreneurs ruraux, notamment les agriculteurs, éleveurs et aquaculteurs, grâce à la diversification des revenus et à l’amélioration de la productivité de leurs activités. Il garantira également une équité territoriale en développant des pôles économiques pour réduire progressivement la macrocéphalie de la région de Dakar, qui concentre depuis des décennies la majorité des opportunités d’emploi du pays », a ajouté le Président Bassirou Diomaye Faye.
Le PROMOREN permettra de mobiliser annuellement 46,6 millions de m³ d’eau douce, de stopper l’intrusion des eaux salées en provenance du fleuve Gambie, et de valoriser 12 000 hectares de terres agricoles chaque année. Il contribuera également à la souveraineté alimentaire et à la résilience des écosystèmes face aux changements climatiques, tout en facilitant le développement des terroirs dans la zone du bassin arachidier.
Autres articles
-
Me Mbengue : « On refuse la caution de Farba, mais on saisit ses biens — c’est une justice sous commande ! »
-
Nord-est du Nigeria: quatre soldats tués dans une attaque jihadiste
-
Dialogue national - Les termes de référence présentés au Khalife de Médina Baye : Le guide religieux appelle à de larges concertations...
-
Thiès- difficultés liées à la délivrance des licences et l'absence de course: Le collectif des amis du vélo tire la sonnette d'alarme
-
Assises nationales des daaras : l’indignation monte face à l’emprisonnement des maîtres coraniques