À 110 kilomètres de Dakar, au cœur de Mbodiène, une ferme aquacole d’un nouveau genre a vu le jour sous l’impulsion de l’Agence nationale de l’Aquaculture (ANA) et de ses partenaires. S’étendant sur cinq hectares, cette écloserie combine pisciculture et maraîchage dans une approche intégrée où rien ne se perd. L’eau sale issue des bassins de poissons, riche en nutriments, est directement utilisée pour l’arrosage des cultures maraîchères, créant ainsi un cycle vertueux entre élevage aquacole et agriculture.
Parmi les acteurs de cette ferme, Babacar Faye incarne cette nouvelle génération d’agriculteurs engagés dans une production durable. Ancien mécanicien, il s’est reconverti depuis 2020 dans l’élevage d’alevins et le maraîchage. Sur son exploitation, il gère plusieurs bassins où nagent plus de 10 000 poissons, tout en cultivant un hectare d’oignons. Grâce à l’eau issue des bassins, ses cultures bénéficient d’un apport naturel en nutriments, améliorant ainsi leur rendement.
À terme, cette ferme aquacole ambitionne de produire un million de poissons par an. Un projet qui ne se limite pas à l’augmentation de la production halieutique, mais qui vise également à créer des emplois durables, renforcer la sécurité alimentaire au Sénégal et contribuer à la lutte contre la pauvreté en milieu rural. Une initiative qui illustre l’avenir prometteur d’une agriculture repensée, où terre et eau s’unissent pour un développement harmonieux.
Parmi les acteurs de cette ferme, Babacar Faye incarne cette nouvelle génération d’agriculteurs engagés dans une production durable. Ancien mécanicien, il s’est reconverti depuis 2020 dans l’élevage d’alevins et le maraîchage. Sur son exploitation, il gère plusieurs bassins où nagent plus de 10 000 poissons, tout en cultivant un hectare d’oignons. Grâce à l’eau issue des bassins, ses cultures bénéficient d’un apport naturel en nutriments, améliorant ainsi leur rendement.
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