Les travailleurs de l’hôpital de la Paix de Ziguinchor montent au créneau. Insatisfaits des avancées concernant leurs revendications, ils ont décidé d’entamer une grève de 48 heures, renouvelables. À partir d’aujourd’hui, la majorité des services, à l’exception des urgences, sera paralysée.
Cette décision a été annoncée lors d’une assemblée générale convoquée pour faire le point sur les discussions avec les différents directeurs du ministère de la Santé et de l’Action sociale. Marc Anibo Manga, secrétaire général de l’intersyndicale, a déclaré : « Nous sommes déterminés à défendre les intérêts matériels et moraux des travailleurs. Le ministre a bien voulu nous recevoir, mais nos attentes demeurent insatisfaites. »
Bien que l’intersyndicale ait reconnu certaines avancées, telles que la mise en place de mesures conservatoires pour améliorer l’environnement de travail, la colère des travailleurs reste palpable. Ils demandent des soins de qualité pour la population, dans des conditions garantissant la sécurité et le bien-être de tous. Un suivi rigoureux et des évaluations hebdomadaires des avancées convenues seront mis en place pour s’assurer de la bonne mise en œuvre des mesures adoptées.
La grève de 48 heures, qui pourrait se prolonger si les revendications ne sont pas satisfaites, souligne la tension persistante au sein du secteur de la santé. Les patients, quant à eux, craignent les conséquences de cette paralysie des services, tandis que les travailleurs de l’hôpital de la Paix de Ziguinchor poursuivent leur lutte pour des conditions de travail décentes et des soins de santé de qualité.
Cette décision a été annoncée lors d’une assemblée générale convoquée pour faire le point sur les discussions avec les différents directeurs du ministère de la Santé et de l’Action sociale. Marc Anibo Manga, secrétaire général de l’intersyndicale, a déclaré : « Nous sommes déterminés à défendre les intérêts matériels et moraux des travailleurs. Le ministre a bien voulu nous recevoir, mais nos attentes demeurent insatisfaites. »
Bien que l’intersyndicale ait reconnu certaines avancées, telles que la mise en place de mesures conservatoires pour améliorer l’environnement de travail, la colère des travailleurs reste palpable. Ils demandent des soins de qualité pour la population, dans des conditions garantissant la sécurité et le bien-être de tous. Un suivi rigoureux et des évaluations hebdomadaires des avancées convenues seront mis en place pour s’assurer de la bonne mise en œuvre des mesures adoptées.
La grève de 48 heures, qui pourrait se prolonger si les revendications ne sont pas satisfaites, souligne la tension persistante au sein du secteur de la santé. Les patients, quant à eux, craignent les conséquences de cette paralysie des services, tandis que les travailleurs de l’hôpital de la Paix de Ziguinchor poursuivent leur lutte pour des conditions de travail décentes et des soins de santé de qualité.
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