Nouvelle frappe de la Police nationale contre la criminalité financière. Les éléments du Commissariat d’arrondissement de Yeumbeul Comico ont procédé à l’interpellation de deux individus pour association de malfaiteurs, tentative de contrefaçon et falsification de signes monétaires.
Suite à un renseignement précis sur un réseau de trafic de faux billets opérant à Keur Massar, une opération ciblée a été déclenchée. Sur place, les enquêteurs ont découvert dans le salon d’un appartement un coffre-fort bien garni, contenant :
• 1130 billets de 10 000 FCFA, soit 11 300 000 FCFA ;
• 517 billets de 100 euros, équivalant à 33 863 500 FCFA.
Montant total saisi : 45 163 500 FCFA, en faux billets, dont plusieurs sous forme de “billets noirs”, une méthode classique utilisée par les faussaires pour tromper les systèmes de détection.
En plus de la saisie monétaire, plusieurs téléphones portables ont été confisqués, probablement utilisés pour les transactions et la coordination du trafic. Les deux suspects sont actuellement placés en garde à vue, tandis que les billets attendent d’être mis sous scellés.
L’enquête suit son cours pour remonter la filière, identifier d’éventuels complices et mesurer l’étendue des ramifications de ce réseau, qui aurait pu injecter dans l’économie nationale des sommes frauduleuses considérables.
La Police nationale rappelle que la fabrication et la détention de faux billets constituent un crime grave, passible de lourdes sanctions pénales.
Suite à un renseignement précis sur un réseau de trafic de faux billets opérant à Keur Massar, une opération ciblée a été déclenchée. Sur place, les enquêteurs ont découvert dans le salon d’un appartement un coffre-fort bien garni, contenant :
• 1130 billets de 10 000 FCFA, soit 11 300 000 FCFA ;
• 517 billets de 100 euros, équivalant à 33 863 500 FCFA.
Montant total saisi : 45 163 500 FCFA, en faux billets, dont plusieurs sous forme de “billets noirs”, une méthode classique utilisée par les faussaires pour tromper les systèmes de détection.
En plus de la saisie monétaire, plusieurs téléphones portables ont été confisqués, probablement utilisés pour les transactions et la coordination du trafic. Les deux suspects sont actuellement placés en garde à vue, tandis que les billets attendent d’être mis sous scellés.
L’enquête suit son cours pour remonter la filière, identifier d’éventuels complices et mesurer l’étendue des ramifications de ce réseau, qui aurait pu injecter dans l’économie nationale des sommes frauduleuses considérables.
La Police nationale rappelle que la fabrication et la détention de faux billets constituent un crime grave, passible de lourdes sanctions pénales.
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