Lors de la mi-temps du Super Bowl le 7 février, Beyoncé a livré un show impressionnant qui a fait d'elle la véritable star de la soirée, éclipsant même le groupe Coldplay pourtant annoncé comme la «tête d'affiche» de l'événement.
À cette occasion, Queen B s'est notamment montrée très engagée sur la question des violences policières aux États-Unis. Un combat fièrement affiché quelques jours avant le show, lors de la sortie de son clip Formation.
Or, les revendications de l'artiste n'ont pas fait l'unanimité chez les Américains. Rapidement, certains ont partagé sur les réseaux sociaux leur indignation de voir une chanteuse profiter d'un événement comme celui-ci pour afficher ses convictions. En cause, une photo des danseuses de Beyoncé arborant, poing levé, le béret noir des Black Panthers dans les années 60, ainsi que le X formé durant la chorégraphie sur la pelouse du stade, en référence à Malcolm X.
Face à ce militantisme, l'ancien maire de New York, Rudy Giuliani, a été parmi les premiers à réagir, sur Fox News. Selon lui, il est «scandaleux» d'utiliser ce spectacle pour «s'attaquer aux officiers de police».
Une rhétorique reprise plus tard par des anonymes qui ont lancé sur Internet un appel à se rassembler le 16 février à l'entrée du siège de la National Football League à New York. La mobilisation devrait même prendre la forme d'un rallye anti-Beyoncé.
Les manifestants, réunis autour de slogans tels que «Dieu aime la police», revendiquent d'ailleurs haut et fort leur indignation: «Êtes-vous d'accord qu'il s'agissait d'un outrage à la police? Êtes-vous d'accord que les Black Panthers étaient un groupe haineux qui ne doit pas être glorifié? Venez avec nous. Disons à la NFL que nous ne voulons plus de discours haineux et de racisme au Superbowl!»
À cette occasion, Queen B s'est notamment montrée très engagée sur la question des violences policières aux États-Unis. Un combat fièrement affiché quelques jours avant le show, lors de la sortie de son clip Formation.
Or, les revendications de l'artiste n'ont pas fait l'unanimité chez les Américains. Rapidement, certains ont partagé sur les réseaux sociaux leur indignation de voir une chanteuse profiter d'un événement comme celui-ci pour afficher ses convictions. En cause, une photo des danseuses de Beyoncé arborant, poing levé, le béret noir des Black Panthers dans les années 60, ainsi que le X formé durant la chorégraphie sur la pelouse du stade, en référence à Malcolm X.
Face à ce militantisme, l'ancien maire de New York, Rudy Giuliani, a été parmi les premiers à réagir, sur Fox News. Selon lui, il est «scandaleux» d'utiliser ce spectacle pour «s'attaquer aux officiers de police».
Une rhétorique reprise plus tard par des anonymes qui ont lancé sur Internet un appel à se rassembler le 16 février à l'entrée du siège de la National Football League à New York. La mobilisation devrait même prendre la forme d'un rallye anti-Beyoncé.
Les manifestants, réunis autour de slogans tels que «Dieu aime la police», revendiquent d'ailleurs haut et fort leur indignation: «Êtes-vous d'accord qu'il s'agissait d'un outrage à la police? Êtes-vous d'accord que les Black Panthers étaient un groupe haineux qui ne doit pas être glorifié? Venez avec nous. Disons à la NFL que nous ne voulons plus de discours haineux et de racisme au Superbowl!»
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