Les étudiants de l’UFR des lettres arts et sciences humaines l’ASHU ont décrété à compter de ce lundi 28 octobre, une grève illimitée et une cessation de toutes activités pédagogiques dans toute l’université.
Ils réclament la tenue d’une session normale, du contrôle des connaissances, l’examen normal à la fin de chaque semestre.
Ce matin, les cours ont été perturbés, suivis d'échauffourées avec les forces de l’ordre.
‘’Nous avions une rencontre entre les quatre UFR de l’université, ainsi l’assemblée a décidé de la non tenue d’une session unique parce que cela ne participe pas à de meilleures situations d’études. Au départ, dans notre promotion, nous étions 120 étudiants, en deuxième année 80, en troisième année 50 et en master nous sommes que cinq étudiants tout cela est dû à la session unique. Tout le monde doit avoir la chance de faire le rattrapage. Beaucoup de nos camarades ont fini par arrêter, ce qui n’est pas normal. Raison pour laquelle nous exigeons la tenue d’une session normale’’, explique Tacko Diouf, porte-parole du jour.
Une rencontre a été organisée entre les délégués et l’administration universitaire pour une issue favorable, mais visiblement les étudiants sont déterminés à poursuivre leur mouvement d’humeur jusqu’à satisfaction de leurs revendications...
Ce matin, les cours ont été perturbés, suivis d'échauffourées avec les forces de l’ordre.
‘’Nous avions une rencontre entre les quatre UFR de l’université, ainsi l’assemblée a décidé de la non tenue d’une session unique parce que cela ne participe pas à de meilleures situations d’études. Au départ, dans notre promotion, nous étions 120 étudiants, en deuxième année 80, en troisième année 50 et en master nous sommes que cinq étudiants tout cela est dû à la session unique. Tout le monde doit avoir la chance de faire le rattrapage. Beaucoup de nos camarades ont fini par arrêter, ce qui n’est pas normal. Raison pour laquelle nous exigeons la tenue d’une session normale’’, explique Tacko Diouf, porte-parole du jour.
Une rencontre a été organisée entre les délégués et l’administration universitaire pour une issue favorable, mais visiblement les étudiants sont déterminés à poursuivre leur mouvement d’humeur jusqu’à satisfaction de leurs revendications...
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