À l'instar des autres districts sanitaires du pays comme dans le monde, celui de Sangalkam a également connu certaines difficultés liées à sa grande superficie avec tout ce qu'il polarise comme zone d'intervention. Selon le médecin chef du district sanitaire de Sangalkam, le Docteur Bocar Baïla Diédhiou, la principale difficulté était la nouveauté du district et le manque de véhicule de liaison pour pouvoir intervenir en temps réel dans tous les endroits.
"Nous avons rencontré de sérieux problèmes au départ que ce soit en logistique, en carburant ou des problèmes de ressources humaines. Il se posait véritablement un problème de surcharge de travail avec les alertes qui fusaient d’un peu partout dans le district. On n'avait pas encore de budget. C'était difficile pour nous avec un véhicule d'intervenir dans toutes les communes que polarise le plus grand district de la région de Dakar de par sa superficie", a t-il fait savoir.
Le Dr Bocar Baïla Diédhiou d'ajouter qu'il se posait un autre problème dans la prise en charge. "Au début de la pandémie, même les cas contacts ont été logés dans des hôtels. ce qui constituait véritablement une difficulté. Il y avait également le problème de stigmatisation, ce qui faisait que des fois il y avait des rébellions, mais depuis l'adoption des nouvelles mesures avec la prise en charge à domicile et autres, on travaille en consentement", a révélé le Dr Diédhiou lors de son entretien accordé à Dakaractu.
"Nous avons rencontré de sérieux problèmes au départ que ce soit en logistique, en carburant ou des problèmes de ressources humaines. Il se posait véritablement un problème de surcharge de travail avec les alertes qui fusaient d’un peu partout dans le district. On n'avait pas encore de budget. C'était difficile pour nous avec un véhicule d'intervenir dans toutes les communes que polarise le plus grand district de la région de Dakar de par sa superficie", a t-il fait savoir.
Le Dr Bocar Baïla Diédhiou d'ajouter qu'il se posait un autre problème dans la prise en charge. "Au début de la pandémie, même les cas contacts ont été logés dans des hôtels. ce qui constituait véritablement une difficulté. Il y avait également le problème de stigmatisation, ce qui faisait que des fois il y avait des rébellions, mais depuis l'adoption des nouvelles mesures avec la prise en charge à domicile et autres, on travaille en consentement", a révélé le Dr Diédhiou lors de son entretien accordé à Dakaractu.
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