Un crime effroyable, une famille en détresse, et des questions sans réponse. Abdoulaye Kâne, un Sénégalais de 36 ans établi en Espagne depuis deux décennies, a été abattu dans des circonstances aussi brutales qu’incompréhensibles à Murcie. Selon L’Observateur, l’homme, décrit comme travailleur et sans histoires, a été criblé de balles par sept individus encagoulés dans la nuit du 9 au 10 mars.
Un choc irréel pour ses proches
À Ziguinchor, la nouvelle a fait l’effet d’un coup de massue. Mamadou Kâne, son jeune frère, peine à y croire. « Abdoulaye était plus qu’un frère, il était mon ami, un confident. Je ne comprends pas pourquoi ces personnes s’en sont prises à lui », confie-t-il à L’Observateur, la voix nouée par l’émotion. Cette incompréhension est partagée par Daouda Djiba, un ami d’enfance du défunt, qui se souvient d’un homme ambitieux, déterminé à offrir une vie meilleure à sa famille.
Loin des clichés des immigrés en difficulté, Abdoulaye Kâne était un homme intégré, en règle avec l’administration espagnole et sans antécédents. Un simple travailleur qui, la veille de son assassinat, discutait encore avec son frère de son retour au pays pour les prochaines fêtes.
Une famille en quête de justice et d’un dernier hommage
Pourtant, malgré la gravité du crime, l’enquête semble piétiner. Fallou Dramé, un proche basé à Murcie, rapporte à L’Observateur que la police locale n’a, à ce jour, livré aucune explication supplémentaire. « Ils m’ont juste dit qu’il a été tué par sept hommes encagoulés. Depuis, silence radio. Je n’ai même pas pu voir son corps », déplore-t-il.
Face à cette tragédie, la priorité pour la famille reste désormais le rapatriement du corps. « Que l’État du Sénégal nous aide au moins à récupérer son corps, et après l’Espagne pourra poursuivre son enquête », implore Mamadou Kâne, complètement anéanti.
Un appel à l’aide, lancé entre douleur et colère, pour qu’Abdoulaye Kâne puisse enfin reposer en paix sur la terre qui l’a vu naître.
Un choc irréel pour ses proches
À Ziguinchor, la nouvelle a fait l’effet d’un coup de massue. Mamadou Kâne, son jeune frère, peine à y croire. « Abdoulaye était plus qu’un frère, il était mon ami, un confident. Je ne comprends pas pourquoi ces personnes s’en sont prises à lui », confie-t-il à L’Observateur, la voix nouée par l’émotion. Cette incompréhension est partagée par Daouda Djiba, un ami d’enfance du défunt, qui se souvient d’un homme ambitieux, déterminé à offrir une vie meilleure à sa famille.
Loin des clichés des immigrés en difficulté, Abdoulaye Kâne était un homme intégré, en règle avec l’administration espagnole et sans antécédents. Un simple travailleur qui, la veille de son assassinat, discutait encore avec son frère de son retour au pays pour les prochaines fêtes.
Une famille en quête de justice et d’un dernier hommage
Pourtant, malgré la gravité du crime, l’enquête semble piétiner. Fallou Dramé, un proche basé à Murcie, rapporte à L’Observateur que la police locale n’a, à ce jour, livré aucune explication supplémentaire. « Ils m’ont juste dit qu’il a été tué par sept hommes encagoulés. Depuis, silence radio. Je n’ai même pas pu voir son corps », déplore-t-il.
Face à cette tragédie, la priorité pour la famille reste désormais le rapatriement du corps. « Que l’État du Sénégal nous aide au moins à récupérer son corps, et après l’Espagne pourra poursuivre son enquête », implore Mamadou Kâne, complètement anéanti.
Un appel à l’aide, lancé entre douleur et colère, pour qu’Abdoulaye Kâne puisse enfin reposer en paix sur la terre qui l’a vu naître.
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