Me Pierre Olivier Sur , Bâtonnier de l’ordre des avocats du barreau de Paris et Avocat de Karim Wade


Me Pierre Olivier Sur , Bâtonnier de l’ordre des avocats du barreau de Paris et Avocat de Karim Wade


Me Pierre Olivier Sur , Bâtonnier de l’ordre des avocats du barreau de Paris et Avocat de Karim Wade
Mercredi 8 Mai 2013




1.Posté par julome le 08/05/2013 16:10
Est ce que ces revenues de ministre et de courtier peuvent lui permettre de payer les honoraires d'un bâtonnier

2.Posté par professeur le 08/05/2013 16:20
Olivier sur n'est pas batonnier.
Il ya un batonnier actuellement, il le sera mais ce n'est pas encore le cas.

3.Posté par azer le 08/05/2013 17:33
on sen fout ak guémégneume bou toye bii tchiiim!

4.Posté par wakh deug le 08/05/2013 18:05
il est le batonnier, il a été élu , il y avait plus de 5000 avocats pour le désigner, il doit prendre ses fonctions en janvier 2014, qui c'est un professeur gnougn gni djangué paris kham nèneko bou bakh, un brillant pénaliste, il très bon avocat, qui ne se lance pas dans n'importe quelle affaire. Tèye mou nèkh app djiné avocat gniew na nakk, na macky wout app ténor d'un barreau, na débat bii saff sappp

5.Posté par wakh deug le 08/05/2013 21:23
PORTRAIT DE PIERRE OLIVIER SUR
Au début, tout semble trop parfait. Belle image d’avocat bourgeois bohême, portant haut et fort la fronde d’un droit pénal intellectualisé. Surfeur des grands dossiers politico-financiers, comédien, écrivain et marin en goguette. Puis, sa douce folie apparaît. Clef d’entrée à la compréhension de celle des autres. Ceux qu’il défend, transforme et transfigure, au gré de leurs intérêts, allant jusqu’à répudier parfois la justice ou la vérité… Habité ou illuminé ?

Chaque semaine, Le nouvel Economiste révèle un tempérament à «L’Hôtel», rue des Beaux-Arts. Paris VIe. Portrait d’un funambule du bien et du mal en quête d’un absolu qui lui échappe.

Avec lui, une seule loi a le droit de cité. Celle du plus faible. Il ne le dit pas. Il le vit, le ressent et l’impose. Les hommes, il leur pardonne toujours, parce que son métier consiste à les comprendre. Il les décortique pour mieux les représenter. Avec les institutions, en revanche, les croyances et les marques de confiance sont abandonnées. Lucide, amoureux de la dialectique et du combat judiciaire, il maîtrise son rôle, à la virgule près. Parfois un peu trop, d’ailleurs. Il est charismatique et semble le savoir. Car la passion qu’il a pour son métier pourrait parfois accroître la véritable importance de l’habit qu’il endosse. S’il reste modeste sur le spectre de ses activités individuelles, il aurait tendance à considérer l’avocat comme un sauveur de l’humanité et le Palais comme le lieu fondateur d’une société. Parce qu’il reste convaincu que la justice demeure l’ultime endroit de la confrontation de l’homme avec lui-même, à travers la loi et les avocats, il s’autorise le flirt avec les frontières de la moralité, du bien-pensant ou du « politiquement correct ». Séduisant, au risque de paraître suffisant, il masque sa propre recherche derrière celle des autres. Et sa part obscure derrière celle de ses clients. Un trait commun aux avocats pénalistes, résolument hypertrophié chez le jeune premier devenu l’un des emblèmes d’une nouvelle génération de robe. Du dossier du sang contaminé à l’affaire Schuller-Maréchal, de l’affaire Elf à celle des HLM de la Ville de Paris, du Crédit Lyonnais à l’affaire Rhodia, il a plaidé les gros dossiers. Actuellement défenseur de l’armateur et propriétaire du navire Erika, Giuseppe Savarese, il est parvenu à faire lever le mandat d’arrêt qui le concernait. Le reste de la procédure en cours est tenu secret. Il s’en amuse, jouant toujours de la corde tragi-comique d’une justice devenue l’outil de ses festins cérébraux.

L’illumination
Fausse idée. Illuminé, il ne l’est résolument pas. Il essaie seulement, consciemment ou pas, de faire croire qu’il pourrait l’être. Engagé, impliqué, affectivement lié ou dépassé par son activité, peut-être davantage. C’est que le destin a frappé sans qu’il s’en aperçoive. Un matin, il s’est réveillé avocat, sans l’avoir vraiment décidé, tant la chose paraissait naturelle. Un métier familial de père en fils, présent des deux côtés de l’ascendance. Pour lui, c’était trop tôt. Il a prêté serment à 21 ans, sans savoir si un autre métier le tentait. Alors, il a fait un essai ailleurs. Sciences-Po, section service public, en 1986, aux côtés d’Arnaud Montebourg, Frédéric Beigbeder, Ariane Chemin et Fatine Layt. Lui, il n’en est sorti qu’une année plus tard, après avoir raté une épreuve d’anglais et découvert qu’il n’avait rien à faire dans cette voie-là. Retour à la case départ. Il entre au cabinet d’Olivier Schnerb et, pendant que ses jeunes amis pondent des notes, il apprend à réfléchir. Le jeu de l’époque consiste à trouver la meilleure réponse à donner à un client. Il a choisi la sienne : « Mon Dieu ! Que me dites-vous là ? » La dialectique, déjà. Le marketing, un peu. La meilleure question pour obtenir ce que l’on veut. Ensuite, tout va très vite. Secrétaire de la conférence du stage en 1989, il est élu au Conseil de l’ordre à la majorité absolue – chose rare –, huit ans plus tard. Voilà. L’enfant chéri de sa famille est devenu, en quelques années, l’enfant chéri du Palais. C’est après que les difficultés vont commencer. Affectives, d’abord. Il perd sa mère à l’âge de 22 ans. Professionnelles, ensuite. Il décide d’entrer au cabinet de son père, principal avocat de la profession d’architecte au moment de la reconstruction, après la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, s’il porte l’atavisme d’un métier, la spécialité de son père n’est pas la sienne. Il ne trouve pas sa place et décide de s’associer avec quelques amis dans le cabinet qui est encore le sien aujourd’hui, Fischer, Tandeau de Marsac, Sur et associés. Bien. Voilà un fil rouge traditionnel, lisse, dans les rails. Il en existe un autre qui l’est peut-être un peu moins.

La transgression
Notre icône bobo pourrait avoir des accents d’Arno Klarsfeld dans ses meilleurs jours. L’élégance en plus, l’assurance en moins. Chez Pierre-Olivier Sur, le mélange d’un esprit littéraire et artistique en fait une parfaite victime de la mode judiciaire. Tout pour plaire. Il a suivi des études de lettres en même temps que sa formation juridique. Remarqué par Raymond Depardon, il a participé à son film documentaire, Flagrant délit, couronné par un César. Passionné de voile, il a passé, jusqu’à très récemment, tous ses étés sur la Méditerranée, entre Toulon et Rhodes. Un jour de jeunesse, il s’est arrêté avec ses amis de bordée dans le port de Naples. Amarrés au quai le plus chic, ils ont pourtant été refusés à l’entrée du restaurant « clubbish » du moment. L’histoire lui a fait un joli pied de nez, lorsque vingt ans plus tard, l’armateur de l’Erika l’a invité dans le même lieu. Il aurait dû en être amusé. Au lieu de cela, il se contente de se demander s’il n’était pas plus heureux pauvre, méconnu et refoulé que brillant avocat à la table des élus. C’est peut-être son charme, cette capacité à toujours douter de se trouver au bon endroit, au bon moment. L’un de ses travers aussi, car l’homme peut avoir du vague à l’âme. Il le soigne résolument dans son métier. « Ce qui m’intéresse est l’effet de ciseaux entre la part d’ombre et la part de lumière des êtres. La part d’ombre peut pousser quelqu’un à commettre une infraction. Le travail de l’avocat consiste à révéler sa part de lumière, son cristal, afin de remodeler le personnage et de le présenter au mieux de ses intérêts. » Pour cela, il n’hésite pas à utiliser tous les faire-valoir, au risque de travestir la réalité. Un soupçon de scandale qui a contribué à sa réussite ascensionnelle. Car il martèle avec délectation des phrases d’une audace provocatrice, souvent frappées du sceau de la vérité, qui contribuent pour le moins à sa publicité. Petit exemple : « La vérité judiciaire n’a rien à voir avec la vérité pure. C’est une approche de la vérité qui peut passer par le mensonge. » En clair, ses clients ont le droit de mentir.

Le pardon
Oui, il doit être pardonné. Car l’aspect superfétatoire de ses grandes formules ne doit pas masquer son implication professionnelle. Il est brillant, exerce son activité avec brio, joue à l’avocat, tout simplement. Mais s’il est concerné par sa cause, c’est peut-être aussi parce qu’elle se confond avec celle de ses clients. Il a certainement un petit grain de folie, qui lui interdit de savoir s’arrêter. « Le club des avocats pénalistes qui ne font que du droit pénal est un club très fermé. Il y en a dix par génération à Paris. » Bien que sa première distinction soit liée à son âge, sa différence réside peut-être dans sa capacité à appréhender le monde judiciaire dans son ensemble, en étant porté par des convictions modernes dans la formulation, et traditionnelles sur le fond : « L’infraction est une rupture du contrat social signifiant que l’ordre public n’est individuellement pas respecté. Si elle n’est pas sanctionnée, l’ensemble de la société peut se détourner de l’ordre public. La justice sert donc à ressouder le contrat social. » Efficace. Les grands penseurs du siècle des Lumières l’ont inspiré, mais ses envolées lyriques restent prudentes, dès lors qu’il s’agit de sa vie personnelle. S’il ne révèle rien qui ne soit directement corrélé à son activité, ses failles rejaillissent entre les lignes. « L’avocat est en situation de déséquilibre : celui de ses clients, accumulé, puis transformé pour devenir une défense ; et celui de la transgression de la vérité, transcendé par l’œuvre d’art que doivent être la plaidoirie et les écritures au fond. Or, cette plaidoirie ne sera prononcée qu’une seule fois, ce qui constitue une frustration. » Percé à jour, il joue l’arrogant alors qu’il craint plus que tout sa mise en échec. Avocat, il le reste intrinsèquement, ses défauts résultant des revers d’une profession. Il ne s’en cache pas. « Je poursuis un double Graal : réussir ma famille, écrire… et tenter de devenir un Robert Badinter. » Pour le coup, il n’y en a pas dix par génération.

6.Posté par samba le 09/05/2013 00:04
dommage on se souvient encore des juristes français venus defendre la candidature de wade il faut vite en finir avec cette famille avec wade on risque une seconde colonisation

7.Posté par pour votre informtaion le 09/05/2013 00:28
Pierre-Olivier Sur, né le 19 juillet 1963, est un avocat pénaliste français. Il est le fils de l'avocat Bernard Sur.




Licence ès Lettres Université de Paris IV Sorbonne
Maîtrise de droit privé général Université de Paris II Assas
1985 : inscription au barreau de Paris
1986 : diplômé de Sciences Po Paris, section service public
1990 : secrétaire de la Conférence du stage
1999-2000 : membre du Conseil de l'Ordre
2001-2009 : membre du Comité d'Ethique du Barreau de Paris
Depuis 2002 : administrateur du Fonds de Garantie des victimes des actes de terrorisme et autres infractions
Membre du Conseil d’Administration de l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice
13 décembre 2012 : il remporte l'élection au Dauphinat du barreau de Paris, et sera donc Bâtonnier de 2014 à 2016.

8.Posté par Fans club Mody Gadiaga le 09/05/2013 09:08
Wayy Bole lenn ko ak MODY GADIAGA mou Keleuptiko ko. Souko diokhognai baramam bi ba ragadiou ko leggui mou Gnibi Paris

9.Posté par faxapenda le 09/05/2013 09:59
J'ai l'impression de voir le gouverneur colonial Moutet ou Boissier, ou alors Faidherbe. Il se trompe vraiment d'époque celui là ! il pense que son cousin Karim peut umpunément bouffer nos derniers et s'en tirer à si bon compte? Alors si c'était le cas je dirais que cette génération de Sénégalais est indigne de Cheikh Anta DIOP, de Cheikh Ahmadou Bamba , de Seydi Hadj Malick , de LAT DIOR ! se srait accepter que Ali Baba al Ibn Chie sur nos têtes et y essuie son dernière !

10.Posté par wakh deug le 09/05/2013 13:11
Au cas où vous l'ignoriez tous vos présidents africains lèchent les pieds des blancs, quand ils arrivent ici ils font comme les mendiants, hollande s'il vous plais , un peu de riz on a faim au djolof, hollande merci chef de nous aider , un peu d'argent au sénégal on a faim..... Fermez là dou wade rèkk mom sakh djoubowoul akk sarkozy nakh da fièrr trop

11.Posté par wakh deug le 09/05/2013 13:26
APR ALLIANCE CARS RAPIDES DiAGA NDIAYE EN ACTION DEUK BII SOUKH, SOUKHA SOUKH
APR alliance cars rapides , diaga ndiaye en action, deukk bii reuss, reussa reuss
Wa PDS mèye nalène bii slogan



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