Ce lundi 20 septembre, la ministre des Armées française, Florence Parly rencontrait la junte malienne. A Bamako, elle assuré que la France resterait militairement présente au Mali, où elle est engagée depuis janvier 2013, malgré la réorganisation en cours de son dispositif au Sahel au profit d'un présence resserrée, centrée sur les frappes ciblées contre les chefs et cadres djihadistes et l'accompagnement des armées locales. La ministre des Armées française, Florence Parly a débuté sa tournée sahélienne par une halte à Niamey le 19 septembre, où elle a rencontré le président nigérien Mohamed Bazoum et son ministre de la défense Alkassoum Indatou afin d’évoquer la transformation du dispositif militaire français.
« Nous ne quittons pas le Mali », a-t-elle insisté « nous savons que la situation sécuritaire reste fragile ».
Interrogée par les journalistes pour savoir si les entretiens avaient porté sur un éventuel recours des autorités maliennes aux paramilitaires de la société Wagner, Mme Parly a seulement répondu: « Nous avons eu un échange franc, direct et complet ». Le colonel Camara ne s'est pour sa part pas exprimé.
La France et l'Allemagne ont prévenu la semaine dernière qu'un recours à Wagner pour former les forces armées maliennes et assurer la protection des dirigeants remettrait en cause leur engagement militaire au Mali. Le gouvernement malien a rétorqué dimanche dans un communiqué qu'il ne permettrait « à aucun Etat de faire des choix à sa place et encore moins de décider quels partenaires il peut solliciter ou pas ».
« Nous ne quittons pas le Mali », a-t-elle insisté « nous savons que la situation sécuritaire reste fragile ».
Interrogée par les journalistes pour savoir si les entretiens avaient porté sur un éventuel recours des autorités maliennes aux paramilitaires de la société Wagner, Mme Parly a seulement répondu: « Nous avons eu un échange franc, direct et complet ». Le colonel Camara ne s'est pour sa part pas exprimé.
La France et l'Allemagne ont prévenu la semaine dernière qu'un recours à Wagner pour former les forces armées maliennes et assurer la protection des dirigeants remettrait en cause leur engagement militaire au Mali. Le gouvernement malien a rétorqué dimanche dans un communiqué qu'il ne permettrait « à aucun Etat de faire des choix à sa place et encore moins de décider quels partenaires il peut solliciter ou pas ».
Autres articles
-
Kolda-Bassin de l'Anambé : Récolte des premières expériences de blé...
-
Accalmie en Casamance : le gouverneur de Ziguinchor fait le point
-
Accord d’entreprise à la Rts : Thierno Dramé de la Synpap parle d’augmentation générale de tous les agents
-
Coopération bilatérale: Dakar et Nouakchott renforcent les liens privilégiés qui unissent les deux pays
-
Comprendre les obligations fiscales des entreprises françaises au Sénégal : Double imposition, conventions fiscales et nouvelles perspectives ? (Par Dr Thierno Thioune*)