Le président de la République s’est exprimé pour apporter des précisions sur la question du parrainage qui nourrit de vives polémiques dans l’arène politique.
Pour Macky Sall, le parrainage ne devrait pas constituer de problème dans la mesure où il fait partie intégrante du catalogue politique sénégalais depuis 1992. Pour le Chef de l’État, la seule nouveauté réside dans le fait qu’il ne va pas seulement concerner les candidats indépendants mais sera élargi pour tous les candidats à l’élection présidentielle qui aspirent conduire la destinée du pays. « Les élections passées ont conduit l’État à effectuer plusieurs dépenses pour assurer la couverture effective de la campagne durant les 21 jours de campagne. 18 milliards ont été dépensés lors des élections législatives qui comptaient 47 listes avec pratiquement les mêmes couleurs qui envahissaient les bureaux de vote. Aux élections locales, il y avait 2747 listes et ça ne peut plus continuer ».
Selon le président Sall, la réforme traitera les candidats indépendants, les non-alignés ainsi que les candidats de partis et de coalitions sur le même pied. Une pers qui aura à sa charge les destinées d’un pays décider de la sécurité doit être bien.
Macky Sall de rappeler que chacun a le droit de s’opposer au parrainage, il appartiendra aux populations de choisir de parrainer le candidat de leur choix en lui accordant sa signature et celui qui n’aura pas atteint le nombre pourra soutenir le candidat de son choix.
« Nous avons dit aux acteurs de la société civile que nous sommes toujours ouverts au dialogue. S’ils veulent qu’on diminue le nombre de signature exigé, c’est toujours faisable mais pour cela il faut en discuter afin de proposer quelque chose et essayer de voir ce qu’ils ont à craindre concernant le parrainage».
Fort de ce constat, le leader de l’APR considère qu’il est inadmissible voire inacceptable qu’il y ait 300 partis politiques au Sénégal et il faudra rationaliser le jeu politique.
« Du côté de l’État, l’exécutif a fait son devoir en adoptant le projet et avant même cela des discussions ont été engagées de décembre à mars entre le pouvoir, l’opposition, les non-alignés et d’autres ont boudé. Dans tous les cas, rappelle le Président Macky Sall, il faut opérer toutes les réformes d’ici juin. Au-delà de cette date, aucun changement ne pourra être engagé conformément aux dispositions du protocole de la CEDEAO.
A cet effet, Macky Sall estime que tout démocrate, toute personne qui cherche l’intérêt du peuple devrait s’aligner sur la question du parrainage.
Comme pour mettre un terme aux polémiques, Macky Sall d’avertir : s’il n’y a pas de consensus, nous allons appliquer la démocratie, la loi de la majorité ».
Pour Macky Sall, le parrainage ne devrait pas constituer de problème dans la mesure où il fait partie intégrante du catalogue politique sénégalais depuis 1992. Pour le Chef de l’État, la seule nouveauté réside dans le fait qu’il ne va pas seulement concerner les candidats indépendants mais sera élargi pour tous les candidats à l’élection présidentielle qui aspirent conduire la destinée du pays. « Les élections passées ont conduit l’État à effectuer plusieurs dépenses pour assurer la couverture effective de la campagne durant les 21 jours de campagne. 18 milliards ont été dépensés lors des élections législatives qui comptaient 47 listes avec pratiquement les mêmes couleurs qui envahissaient les bureaux de vote. Aux élections locales, il y avait 2747 listes et ça ne peut plus continuer ».
Selon le président Sall, la réforme traitera les candidats indépendants, les non-alignés ainsi que les candidats de partis et de coalitions sur le même pied. Une pers qui aura à sa charge les destinées d’un pays décider de la sécurité doit être bien.
Macky Sall de rappeler que chacun a le droit de s’opposer au parrainage, il appartiendra aux populations de choisir de parrainer le candidat de leur choix en lui accordant sa signature et celui qui n’aura pas atteint le nombre pourra soutenir le candidat de son choix.
« Nous avons dit aux acteurs de la société civile que nous sommes toujours ouverts au dialogue. S’ils veulent qu’on diminue le nombre de signature exigé, c’est toujours faisable mais pour cela il faut en discuter afin de proposer quelque chose et essayer de voir ce qu’ils ont à craindre concernant le parrainage».
Fort de ce constat, le leader de l’APR considère qu’il est inadmissible voire inacceptable qu’il y ait 300 partis politiques au Sénégal et il faudra rationaliser le jeu politique.
« Du côté de l’État, l’exécutif a fait son devoir en adoptant le projet et avant même cela des discussions ont été engagées de décembre à mars entre le pouvoir, l’opposition, les non-alignés et d’autres ont boudé. Dans tous les cas, rappelle le Président Macky Sall, il faut opérer toutes les réformes d’ici juin. Au-delà de cette date, aucun changement ne pourra être engagé conformément aux dispositions du protocole de la CEDEAO.
A cet effet, Macky Sall estime que tout démocrate, toute personne qui cherche l’intérêt du peuple devrait s’aligner sur la question du parrainage.
Comme pour mettre un terme aux polémiques, Macky Sall d’avertir : s’il n’y a pas de consensus, nous allons appliquer la démocratie, la loi de la majorité ».
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