Lors de la rencontre initiée par la coalition Manko Wattu Sénégal, Ousmane Faye leader de ladite coalition, a suggéré à l’État du Sénégal de prendre toutes ses responsabilités, en préconisant des mesures fortes et hardies. Il a selon une note qui nous a été transmise, indiqué que « ce bras de fer laisse apparaitre des dessous politiques engagés par des syndicalistes et enseignants qui ont de fortes affinités avec l'opposition radicale et l’aile gauche politique dirigée par la LD Debout ».
« Les syndicats et enseignants grévistes sont difficiles à manager. Les multiples actions intentées par le régime n’ont pas donné grand-chose, de même que leur rencontre avec le Chef de l’État et les chefs religieux. Les efforts fournis par le gouvernement de procéder à une augmentation sur leurs indemnités de logement sont également restées vaines : ils continuent de délaisser les classes et les élèves » argue Ousmane Faye.
Suffisant dira t’il pour que l’État prenne toutes ses responsabilités. « Cette situation ne doit pas rester sans solution urgente et idoine. L’État doit prendre toutes ses responsabilités, sinon, ces syndicalistes et enseignants « politi-chiens » vont faire tomber le régime. L’État doit, après avoir prolongé l'année scolaire, leur donner un ultimatum en fixant un dead-line où tout enseignant qui ne se trouve pas en classe à cette date indiquée, pourra être considéré comme démissionnaire et pourra être radié purement et simplement » a-t-il conclu.
« Les syndicats et enseignants grévistes sont difficiles à manager. Les multiples actions intentées par le régime n’ont pas donné grand-chose, de même que leur rencontre avec le Chef de l’État et les chefs religieux. Les efforts fournis par le gouvernement de procéder à une augmentation sur leurs indemnités de logement sont également restées vaines : ils continuent de délaisser les classes et les élèves » argue Ousmane Faye.
Suffisant dira t’il pour que l’État prenne toutes ses responsabilités. « Cette situation ne doit pas rester sans solution urgente et idoine. L’État doit prendre toutes ses responsabilités, sinon, ces syndicalistes et enseignants « politi-chiens » vont faire tomber le régime. L’État doit, après avoir prolongé l'année scolaire, leur donner un ultimatum en fixant un dead-line où tout enseignant qui ne se trouve pas en classe à cette date indiquée, pourra être considéré comme démissionnaire et pourra être radié purement et simplement » a-t-il conclu.
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