Sur le plan institutionnel beaucoup d'efforts ont été faits pour permettre aux jeunes d’être opérationnels dès la fin de leurs cursus scolaires.
Du moins, c’est l’avis du DG de la Recherche et de l’Innovation, le Pr Amadou Gallo Diop, « depuis quelques années on a mis en place des instituts supérieurs d’enseignement professionnel (ISEP). En deux ans, les bacheliers qui vont dans les ISEP sont formés concrètement pour exercer un métier ici à Diamniadio. Il y a la formation en mécanique et ils sortent au bout de deux ans, ils sont en contact avec le monde du travail. Il y a d’autres ISE où au bout de 2 ans des jeunes sont formés au métier des produits agricoles... »
Il y a aussi les centres de recherche et d’essai qui existent depuis 20 ans, où durant 3 jours et 3 mois on peut former n’importe qui, même des chômeurs ou des non instruits peuvent être formés et leur donner la possibilité de mettre sur pied leurs propres business.
« Alors la question qui se pose, est-ce qu’on doit garder les mêmes systèmes de formation et d'éducation qui sont en place depuis 60 ans ? On avait besoin de matière puissante pour former des ressources humaines. On en a suffisamment pour nous adapter au développement économique et de la technologie… » , a-t-il ajouté. C’était en marge d’un atelier tenu ce 21 juin à Diamniadio pour la mise du comité de pilotage du projet 4-H Sénégal.
Du moins, c’est l’avis du DG de la Recherche et de l’Innovation, le Pr Amadou Gallo Diop, « depuis quelques années on a mis en place des instituts supérieurs d’enseignement professionnel (ISEP). En deux ans, les bacheliers qui vont dans les ISEP sont formés concrètement pour exercer un métier ici à Diamniadio. Il y a la formation en mécanique et ils sortent au bout de deux ans, ils sont en contact avec le monde du travail. Il y a d’autres ISE où au bout de 2 ans des jeunes sont formés au métier des produits agricoles... »
Il y a aussi les centres de recherche et d’essai qui existent depuis 20 ans, où durant 3 jours et 3 mois on peut former n’importe qui, même des chômeurs ou des non instruits peuvent être formés et leur donner la possibilité de mettre sur pied leurs propres business.
« Alors la question qui se pose, est-ce qu’on doit garder les mêmes systèmes de formation et d'éducation qui sont en place depuis 60 ans ? On avait besoin de matière puissante pour former des ressources humaines. On en a suffisamment pour nous adapter au développement économique et de la technologie… » , a-t-il ajouté. C’était en marge d’un atelier tenu ce 21 juin à Diamniadio pour la mise du comité de pilotage du projet 4-H Sénégal.
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