Plus que quelques jours pour assister à la célébration du 63ème anniversaire de la fête de l’indépendance du Sénégal.
Après trois années spécifiquement réservées au défilé militaire à cause de la pandémie lié à la Covid-19, arrive enfin le retour de la grande fête. Pour cette année 2023, un défilé militaire et civil sera au menu de cette journée historique.
Sur le boulevard du Général De Gaulle, l’heure est aux préparatifs. C’est aussi la même ambiance qui règne non loin, au lycée John Fitzgerald Kennedy. En effet, on ne peut parler de défilé du 4 avril sans penser à la prestation des majorettes de l’institut Notre Dame, mais aussi celle du lycée public de jeunes filles.
Une visite chez ces dernières nous a permis d’assister à leur répétition à la salle Mariama Ba. Là-bas, les filles, leurs formatrices et les batteurs de tambours étaient tous nostalgiques et heureux de revivre cet événement. Cependant, au-delà de cette nuance de gaité, se lisait sur leurs visages une lueur de tristesse, un sentiment de manque qui malgré leurs sourires, avait pris le dessus.
La raison de cette amertume n’est autre que l’absence d’une des figures marquantes des majorettes du lycée John Fitzgerald Kennedy, à savoir leur ancienne responsable, Madame Yama Diémé Diédhiou qui les a formées, protégées et guidées pendant plus de tente ans. Une mère, une complice avec qui elles ont partagé des moments d’amour et joie, qui a tiré sa révérence le 10 mars passé.
Une nouvelle qui les a secouées, mais qui les pousse à vouloir lui rendre un hommage mérité le jour de cette fête d’indépendance...
Après trois années spécifiquement réservées au défilé militaire à cause de la pandémie lié à la Covid-19, arrive enfin le retour de la grande fête. Pour cette année 2023, un défilé militaire et civil sera au menu de cette journée historique.
Sur le boulevard du Général De Gaulle, l’heure est aux préparatifs. C’est aussi la même ambiance qui règne non loin, au lycée John Fitzgerald Kennedy. En effet, on ne peut parler de défilé du 4 avril sans penser à la prestation des majorettes de l’institut Notre Dame, mais aussi celle du lycée public de jeunes filles.
Une visite chez ces dernières nous a permis d’assister à leur répétition à la salle Mariama Ba. Là-bas, les filles, leurs formatrices et les batteurs de tambours étaient tous nostalgiques et heureux de revivre cet événement. Cependant, au-delà de cette nuance de gaité, se lisait sur leurs visages une lueur de tristesse, un sentiment de manque qui malgré leurs sourires, avait pris le dessus.
La raison de cette amertume n’est autre que l’absence d’une des figures marquantes des majorettes du lycée John Fitzgerald Kennedy, à savoir leur ancienne responsable, Madame Yama Diémé Diédhiou qui les a formées, protégées et guidées pendant plus de tente ans. Une mère, une complice avec qui elles ont partagé des moments d’amour et joie, qui a tiré sa révérence le 10 mars passé.
Une nouvelle qui les a secouées, mais qui les pousse à vouloir lui rendre un hommage mérité le jour de cette fête d’indépendance...
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