La journée internationale de la femme a été célébrée plusieurs fois par les prédécesseurs de l’actuelle Directrice Général du Centre Africain d'Études Supérieures en Gestion (CESAG), Rosaline Dado Worou Houndekon.
Mais cette année 2024, c’est une première, une année particulière et singulière pour les enseignants membres de l’administration, mais surtout pour les étudiantes.
Selon Mme Houndekon, cette année, marque surtout l’engagement féminin à la tête du CESAG : « c’est ça que les femmes ont célébré; en réalité, on n’a rien fait d’extraordinaire, l’innovation dont on parle, c’est qu’elles ont pris conscience du fait qu’aujourd’hui, c’est elles qui en réalité se retrouvent à la tête de l’institution, d’où les contenus enrichissants à cette journée dédiée à la femme. »
Pour cette journée, beaucoup d’échanges ont eu lieu entre responsables et étudiantes, des vidéos de motivation marquant l’histoire et le parcours des braves dames du CESAG ont aussi été projetées, sans oublier les deux panels (des étudiants et des enseignants) qui enrichissent la salle.
Pour la directrice, l'objectif qui lui a été assigné reste fondamental et consiste à essayer de voir ensemble comment elle et son équipe pourront avancer pour bien accomplir la mission que le conseil d'administration du CESAG leur a confiée, c'est-à-dire contribuer, par la formation, la recherche et le conseil, au renforcement des capacités de gestion dans la sous-région.
« On nous a confié la gestion de l’entité qui n’est pas quelque chose de petit, ce qui veut dire que le CESAG est déjà une bonne chose et nous à notre tour, nous devrions essayer de le ramener plus loin juste en renforçant la capacité de nos étudiants et étudiantes », assure Rosaline.
Après avoir formulé beaucoup de conseils à ses chères étudiantes qu'elle appelle affectueusement ‘’ses filles’’, Rosaline Dado Worou Houndekon, tout en plaçant beaucoup de confiance en elles, espère que cela va les servir à faire face aux difficultés de la vie.
« Mes filles, j’avoue qu’elles m’ont bien écoutée, je vois en elles des gens qui sont capables d’aller là où je n’ai pas eu la chance d’aller, je vois en elles des gens qui sont capables de booster le développement réel du continent africain et je crois qu’elles vont y arriver, car nous sommes là et nous allons les accompagner », affirme la directrice.
Dans ses propos, la directrice semble accorder beaucoup d’importance à l’éducation des enfants, mais pour elle cela ne saurait se faire sans la communication, étant bien consciente des difficultés souvent rencontrées par ces dernières.
Mais cette année 2024, c’est une première, une année particulière et singulière pour les enseignants membres de l’administration, mais surtout pour les étudiantes.
Selon Mme Houndekon, cette année, marque surtout l’engagement féminin à la tête du CESAG : « c’est ça que les femmes ont célébré; en réalité, on n’a rien fait d’extraordinaire, l’innovation dont on parle, c’est qu’elles ont pris conscience du fait qu’aujourd’hui, c’est elles qui en réalité se retrouvent à la tête de l’institution, d’où les contenus enrichissants à cette journée dédiée à la femme. »
Pour cette journée, beaucoup d’échanges ont eu lieu entre responsables et étudiantes, des vidéos de motivation marquant l’histoire et le parcours des braves dames du CESAG ont aussi été projetées, sans oublier les deux panels (des étudiants et des enseignants) qui enrichissent la salle.
Pour la directrice, l'objectif qui lui a été assigné reste fondamental et consiste à essayer de voir ensemble comment elle et son équipe pourront avancer pour bien accomplir la mission que le conseil d'administration du CESAG leur a confiée, c'est-à-dire contribuer, par la formation, la recherche et le conseil, au renforcement des capacités de gestion dans la sous-région.
« On nous a confié la gestion de l’entité qui n’est pas quelque chose de petit, ce qui veut dire que le CESAG est déjà une bonne chose et nous à notre tour, nous devrions essayer de le ramener plus loin juste en renforçant la capacité de nos étudiants et étudiantes », assure Rosaline.
Après avoir formulé beaucoup de conseils à ses chères étudiantes qu'elle appelle affectueusement ‘’ses filles’’, Rosaline Dado Worou Houndekon, tout en plaçant beaucoup de confiance en elles, espère que cela va les servir à faire face aux difficultés de la vie.
« Mes filles, j’avoue qu’elles m’ont bien écoutée, je vois en elles des gens qui sont capables d’aller là où je n’ai pas eu la chance d’aller, je vois en elles des gens qui sont capables de booster le développement réel du continent africain et je crois qu’elles vont y arriver, car nous sommes là et nous allons les accompagner », affirme la directrice.
Dans ses propos, la directrice semble accorder beaucoup d’importance à l’éducation des enfants, mais pour elle cela ne saurait se faire sans la communication, étant bien consciente des difficultés souvent rencontrées par ces dernières.
La plupart situées à la fleur de l’âge, Rosaline Dado Worou Houndekon ouvre grandement ses portes à toutes ses étudiantes qui se trouvent dans des périodes difficiles.
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